Conjoncture du 08 au 12 Janvier 2018



Veille Maraacid


2,8% de croissance en 2018 selon le HCP

Trés attendue, la prévision du Haut commissariat au plan (HCP) relative à la croissance du PIB du Maroc pour l'année 2018 a fait l'effet d'une douche froide. Selon le HCP, la valeur ajoutée du secteur agricole devrait reculer de 1,3% en 2018 au lieu d'une hausse de 13,6% en 2017. La valeur ajoutée des activités non agricoles devrait elle s'apprécier de 2,9% en 2018 au lieu de 2,8% l'année précédente.

IDE : Le Maroc, premier pourvoyeur de fonds en côte d'ivoire

Le Maroc est le premier ravitailleur de fonds en Côte d’Ivoire, et prend la tête des pays qui investissent le plus dans ce pays. Ce qui ne surprend personne puisque le Maroc et la Côte d’Ivoire développent conjointement, et ce depuis 2013, de nombreux partenariats multisectoriels, faisant du pays la première destination des IDE marocains.la  signature, le 21 janvier 2015, du mémorandum d’entente pour le renforcement du partenariat économique avancé, ainsi que la mise en place du Groupement d’impulsion économique Maroc-Côte d’Ivoire (GIEMCI), ont contribué grandement au développement des relations commerciales qui lient les deux pays, et représentent un potentiel d’amélioration des plus inépuisable.

Tanger Med : 88 milliards de DH à l’export

Le complexe portuaire Tanger Med confirme sa position de première plateforme portuaire d’export au Maroc. Le port a ainsi traité en 2017 un volume global de 88 milliards de DH de produits marocains exportés. Le tonnage global manutentionné pour l’année échue est de 51.328.150 tonnes en évolution de 15% par rapport à l’année 2016. Le complexe portuaire dépasse ainsi pour la première fois la barre des 50 millions de tonnes annuels. Aussi, le port Tanger Med termine l’année 2017 avec des connexions maritimes directes vers 174 ports et 74 pays sur les 5 continents.

Intervention de Monsieur Ahmed LAHLIMI, Haut Commissaire au Plan à la conférence de presse sur la situation de l’économie nationale en 2017 et ses perspectives en 2018

L’agriculture est, parmi tous les secteurs, premier contributeur à la croissance de l’économie nationale et l’amélioration et du niveau de vie de la population.le rôle des phosphates comme moteur de la croissance de ce secteur, tant dans leur dimension minière que dans celle de leurs dérivés chimiques et para chimiques, profitant en cela d’une évolution favorable des marchés internationaux (retrait de la Chine), de l’augmentation de la demande agricole mondiale (Brésil) et du dynamisme de l’ouverture de l’OCP sur le continent africain. Avec une irrégularité structurelle qui devrait, pendant longtemps encore, affecter la production agricole, le secteur non agricole devrait, par la diversification de ses facteurs et la compétitivité de ses activités, être le recours d’une croissance économique forte et durable et nourrir le financement endogène de l’économie nationale et l’amélioration par l’emploi des revenus des citoyens.

Rapport du CESE : La valorisation du capital immatériel est vitale pour le Maroc

Le Maroc possède d’importants gisements de richesse au sein et à travers toutes les composantes de son capital immatériel qui lui permettront de s’inscrire pleinement sur le sentier d’une émergence inclusive et durable, selon un rapport du Conseil économique, social et environnemental (CESE), intitulé « Richesse globale du Maroc entre 1999 et 2013: Le capital immatériel facteur de création et de répartition équitable de la richesse nationale ».

BM: Une embellie économique mondiale teintée de risques à plus long terme

La Banque mondiale est plus optimiste sur la croissance économique autour du globe cette année mais elle demeure réservée sur la capacité de la soutenir à long terme face à la tentation du protectionnisme et aux tensions géopolitiques. Le produit intérieur brut (PIB) mondial devrait progresser de 3,1% cette année, après +3% en 2017. C’est 0,2 point de pourcentage de plus que ses prévisions de juin pour 2018. « La croissance mondiale est plus forte que ce que nous avions prévu », a déclaré à l’AFP Ayhan Kose, économiste à la Banque mondiale qui a aussi rehaussé de 0,3 point son évaluation de l’expansion pour l’année dernière.

Finances publiques : La Cour des comptes épingle à nouveau le gouvernement

La Cour des comptes a recommandé au Ministère de l’Économie et des Finances (MEF) d’améliorer ses communications se rapportant aux finances publiques, en publiant des informations complémentaires permettant de mieux cerner la situation réelle des comptes publics en termes de recettes, de dépenses et d’engagements. Dans son rapport préliminaire sur l’exécution du budget de l’Etat pour l’année 2016, la Cour des comptes souligne qu’il convient de faire ressortir au niveau des ressources, les recettes fiscales brutes et les données sur les restes à recouvrer, et au niveau des dépenses, la part des recettes fiscales transférée aux collectivités territoriales, les dépenses exceptionnelles et les arriérés de paiement, relevant que ces informations sont de nature à contribuer à améliorer la lisibilité des informations afférentes aux finances publiques.

Emergence du Maroc : les recommandations du CESE et de Bank Al-Maghrib

Le Conseil économique, social et environnemental (CESE) et Bank Al Maghrib ont formulé dans leur rapport sur le capital humain, présenté mercredi à la Chambre des conseillers, une série de recommandations qui devront permettre de faire entrer le Maroc de plain-pied dans et de manière irréversible dans l'émergence. Dans ce rapport, réalisé conformément aux hautes orientations de SM le Roi Mohammed VI, le CESE et Bank Al-Maghrib identifient sept leviers de création de richesse intéressant les dimensions institutionnelle, humaine et sociale de la richesse immatérielle auxquelles le Maroc doit accorder davantage d’attention pour réaliser un développement soutenu, durable, inclusif et plus équitable.

Le Bitcoin: L’eldorado numérique ou la grande illusion

Le Bitcoin, la crypto monnaie, le Blockchain, des mots en vogue qui reviennent souvent face à l’ascension fulgurante des monnaies virtuelles. Méconnus du grand public il y a trois ans, les rouages du Bitcoin défraient aujourd’hui la chronique et ne cessent de susciter l'intérêt d'internautes, d'entreprises du monde entier, tout comme les inquiétudes de nombreuses autorités financières. Pour les adeptes des monnaies virtuelles, cet "or numérique" que représente le Bitcoin fait des émules et annonce un monde de demain, tandis que pour les plus sceptiques, ses bons erratiques font craindre une bulle spéculative au sein des milieux financiers.

HCP: La croissance économique devrait se situer à 2,8 en 2018

Dans une conférence de presse, le patron du HCP, Ahmed Lahlimi Alami, a passé en revue les principaux indicateurs macroéconomiques en 2017 et 2018, mettant en relief certains facteurs qui handicapent encore le potentiel de l’économie marocaine et réitérant ses recommandations pour l’amélioration de la compétitivité et la diversification de l’économie marocaine à travers des réformes.

Maroc : la lutte contre le chômage n'est-elle pas de la responsabilité du secteur privé ?

Il me semble que l'on charge trop l'Etat en matière de lutte contre le chômage alors c'est le secteur privé qui doit être en première ligne. L'Etat réalise des investissements importants en matière d'infrastructures qui font de notre pays un des rares qui consacre 30% de son PIB à l’investissement sans que cela ne se traduise par des créations substantielles d'entreprises et d'emplois. Le pays s'est saigné pendant des années en s'endettant notamment pour construire, ports, aéroports, routes et autoroutes, adductions d'eau et d'électricités pour mettre ces infrastructures à la disposition du secteur privé sans résultats notables.

Perspectives économiques 2017-2018

Ce numéro de la Revue de l'OFCE consacré aux prévisions écono-miques pour les années 2017 et 2018 est composé de plusieurs articlesqui peuvent être lus indépendamment. Le premier article, intitulé «La routine de l'incertitude» présentele scénario de prévision pour l'économie mondiale et la zone euro.Comme le rappellent les économistes du département Analyse etprévision de l'OFCE, malgré diverses menaces sur l'économie mondialedepuis deux ans, la croissance a résisté en 2016, n'affichant qu'unfaible ralentissement (2,9 %), après des rythmes supérieurs à 3 % entre2012 et 2015. L'incertitude politique et géopolitique, dans le sillage del'élection américaine ou le risque d'éclatement de l'Union européenneou de l'Union monétaire après le Brexit restent présents.

Le dirham perd du terrain face à l’euro

Les réserves internationales nettes ont enregistré, au 29 décembre 2017, une hausse de 0,7% pour s’établir à 240,9 milliards de dirhams. C’est ce qu’affirme Bank Al-Maghrib dans une note d’information, ajoutant qu’en glissement annuel, leur baisse s’est atténuée à 3,3%. Sur le marché de change, BAM souligne que le dirham s’est déprécié, durant la semaine allant du 28 décembre au 3 janvier 2018, de 0,13% par rapport à l’euro et s’est apprécié de 0,21% vis-à-vis du dollar.

HCP : Une décélération de la croissance au premier trimestre 2018

Conformément aux prévisions, le Maroc boucle l’année sur une note positive. Le dernier trimestre de l’année 2017 a été marqué par une nette reprise de l’économie nationale. Un redressement illustré par une croissance de 3,9% contre 1% enregistrée à la même période de l’année 2016. L’un des principaux gisements de cette amélioration est l’affermissement du secteur primaire. La valeur ajoutée agricole aurait affiché durant les trois derniers mois de l’année une progression de 14,2% contre une baisse de 13,7% une année auparavant. C’est ce que l’on peut relever de la note de conjoncture livrée par le Haut-Commissariat au Plan au titre du quatrième trimestre de l’année. En effet, la valeur ajoutée agricole a connu un important saut, et ce dans un contexte de baisse des prix des productions végétales.

Risque d’inflation, de fuites de capitaux et d’aggravation du chômage

Le dirham marocain est la monnaie officielle du Maroc depuis 1958, date à laquelle il a remplacé le franc marocain (dont la valeur était fixée par rapport au franc français). Le dirham a été l’unité monétaire principale du Maroc, jusqu’en 1912. Le traité de Fès du 30 mars 1912, dans son article premier, ouvre l’opportunité du protectorat de changer la devise marocaine, pour l’adapter à ses besoins, on parle des : « …réformes administratives, judiciaires, scolaires, économiques, financières et militaires … ».

IMF: perspectives et politiques économiques mondiales

L’accélération de la croissance prévue dans l’édition d’avril 2017 des Perspectives de l’économie mondiale (PEM) s’affermit. La prévision de croissance mondiale pour 2017 et 2018, 3,6 % et 3,7 % respectivement, est supérieure de 0,1 point pour les deux années aux prévisions d’avril et de juillet derniers. Une augmentation notable de l’investissement, du commerce et de la production industrielle, conjuguée à un regain de confiance des chefs d’entreprise et des consommateurs, contribue à la reprise. Comme les chiffres du premier semestre de 2017 ont été généralement meilleurs que prévu, les révisions à la hausse de la croissance concernent de nombreuses régions ou pays, y compris la zone euro, le Japon, la Chine, les pays émergents d’Europe et la Russie.

Croissance : pour la Banque mondiale, ça sera 3,1% en 2018

Selon la Banque mondiale, qui vient de publier son traditionnel rapport de janvier «Global Economic Prospects» (Perspectives économiques mondiales), le Maroc devrait réaliser en 2018 une croissance de 3,1%. L'institution projette par ailleurs une croissance de 3,2% pour 2019 et 2020. La Banque mondiale note que les faiblesses budgétaires et structurelles demeurent des défis majeurs dans de nombreux pays de la région MENA. Cependant, soutenues par les programmes du FMI et de la Banque mondiale, de nombreuses économies (par exemple, l'Égypte et le Maroc) ont amélioré leurs positions budgétaires.

IDE dans la région MENA: impact du processus de libéralisation politique et commerciale

Cette étude porte sur les IDE dans les pays du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord (MENA). Dans ce but, nous utilisons des données sur les IDE nouvelles (« greenfields », GI) de la base de données FDI Markets qui contient des informations sur le nombre et le volume de projets par pays de provenance et par destination pour la période 2003-2012. Dans un premier temps, nous fournissons une vue d’ensemble de la nature et de la tendance des IDE vers la région MENA. Dans une deuxième étape, nous estimons une équation de gravité pour expliquer les GI de 160 pays.Troisièmement, nous étudions le rôle de la qualité institutionnelle comme facteur d’attraction des IDE.

L'accord de pêche UE-Maroc est "invalide", selon l'avocat général de la CJUE — TSA

L’avocat général de la Cour de justice de l’Union Européenne (CJUE) a estimé, ce mercredi 10 janvier, que l’accord de pêche liant l’Union Européenne au Maroc est « invalide ». Cet accord ne respecte, entre autres, « ni le principe de souveraineté permanent sur les ressources naturelles, ni les règles du droit international humanitaire applicables à la conclusion des accords internationaux visant l’exploitation des ressources naturelles d’un territoire occupé », a expliqué l’avocat général dans ses conclusions. Dans 90% des cas, la CJUE suit l’avis de l’avocat général.

Maroc : la faible pluviométrie freine la croissance économique de ce début d’année

Du côté de la valeur ajoutée hors agriculture, elle devrait, selon la note de conjoncture du HCP, s’accélérer au premier trimestre de l’année.Selon l’institution, la valeur ajoutée du secteur industriel réalisera, au titre du premier trimestre, une progression de 2,2 %, en variation annuelle.Sur les trois derniers mois de l’année 2017, la valeur ajoutée hors agriculture se serait accrue de 2,8 %, soit une augmentation de 20 points de base par rapport à son niveau une année auparavant.

Au Maroc, un contrat de 284 millions d’euros pour Vinci Construction – JeuneAfrique.com

La nouvelle station de transfert d’énergie par pompage (STEP) de la région d’Agadir sera réalisée par un consortium mené par Vinci Construction. 840 personnes seront mobilisées pour ce chantier d'une durée de quarante-huit mois. Vinci Construction (13,7 milliards d’euros de chiffre d'affaires en 2016) vient de remporter un important contrat pour la réalisation de la station de transfert d’énergie par pompage (STEP) d’Abdelmoumen, à 70 km d’Agadir, au Maroc. L’entreprise française et son partenaire ont ainsi pour mission de faire les études d’exécution, la réalisation du génie civil, la fourniture de matériel et des équipements de transfert, le montage, les essais et la mise en service de la station.

Renault Maroc: Plus de 70.000 livraisons en 2017

Le Groupe Renault Maroc reconfirme sa « position de leader » en faisant passer ses parts de marché cumulées de 37,8% en 2016 à 41,8% en 2017, soit un gain de 4 points en une année seulement, s'est réjoui le Groupe dans un communiqué. De ce fait, Le Groupe Renault tire le marché avec une croissance positive de 14,3%, comparée à un marché qui n'évolue que de 3,4%, ajoute-t-on, qualifiant ces résultats de «performances à couper le souffle ! », et 2017 d'« année exceptionnelle ».

Industrie pharmaceutique: Alerte sur les résultats 2017 de Sothema et Promopharm

Profit warning sur les résultats 2017 des laboratoires pharmaceutiques Promopharm et Sothema. Le premier indique que son bénéfice net devrait enregistrer une baisse pouvant être estimée aux alentours de 25%, soit 22 millions de DH par rapport à l’année précédente. Cette contreperformance est attribuée à un repli du chiffre d’affaires du marché privé suite à une compétitivité «accrue» sur certains segments. Un changement de mix des ventes marqué par une augmentation du chiffre d'affaires des marchés publics en 2017 a également affecté le résultat net. «Il est à rappeler que les prix de vente des marchés publics sont inférieurs à ceux du marché privé», souligne le management dans un communiqué.

Compensation: La charge explose du tiers en 2017 | L'Economiste

Le coût mensuel de la compensation (gaz butane et sucre) s’élève à 1,2 milliard de DH. La part du lion revient, bien évidemment, au butane qui s’accapare 73% du montant global de la subventionLa loi de finances 2017 a prévu une dotation budgétaire globale pour la compensation de l’ordre de 14,6 milliards de DH. Un montant qui cible la consommation du gaz butane et du sucre. Ce montant se décompose de 4,85 milliards de DH pour le sucre et 9,2 milliards pour le butane.

Le Bourse recule

La valeur a enregistré le volume le plus important de la séance. Son gain sur un an se chiffre à 36,15%. L’indice vedette de la place boursière entame la semaine dans le rouge. A la clôture de la séance du lundi, le Masi régresse de 0,47% à 12.479,42 points. Le baromètre des valeurs les plus liquides recule lui aussi de 0,51% à 10.168,34 points. Ils enregistrent des performances annuelles respectives de 0,73% pour le Masi, et de 0,67% pour le Madex. Les indices Ftse suivent la même trajectoire avec une diminution de 0,42% pour le Morocco 15 et de 0,56% pour le Morocco All-Liquid. Dans la foulée, la capitalisation boursière s’établit à 632 milliards de DH.

L’UE veut que la Chine s’ouvre davantage aux investissements étrangers

L’Union européenne attend de la Chine qu’elle “s’ouvre plus” aux investissements étrangers et “joue mieux le jeu du libre commerce” avec ses partenaires, a déclaré lundi la commissaire européenne au Commerce Cecilia Malmström. “Nous sommes en discussion avec la Chine pour voir comment nous pouvons travailler avec eux pour qu’ils s’ouvrent davantage”, a-t-elle dit sur BFM Business, alors que le président français Emmanuel Macron effectue sa première visite en Chine. La commissaire a estimé qu’il fallait être “vigilant” face aux investissements chinois en Europe, rapporte l’AFP.

Entre le beau tableau dressé par le ministère de l’Emploi et les chiffres du HCP, il y a tout un monde

42.718 est le nombre de postes de travail créés par le gouvernement au titre des budgets 2017-2018 et 55.000 postes budgétaires contractuels le seront au titre des 2018-2019. C’est ce qui ressort de l’intervention de Mohamed Yatim, ministre de l'Emploi et de l'Insertion professionnelle, devant la Chambre des représentants lundi dernier. Le ministre a également indiqué que le dispositif Tahfiz lancé dans l'objectif de promouvoir l'emploi, la compétitivité de l'entreprise et l'intégration du secteur informel a atteint 60% de ses objectifs et qu’il sera reconduit jusqu’en 2022.

Feu vert pour le renouvellement de l’accord de pêche Maroc-UE

La Commission européenne a adopté lundi une recommandation visant à obtenir l'autorisation du Conseil pour négocier un nouveau protocole de pêche entre l’UE et le Maroc, l’actuel protocole devant arriver à échéance le 14 juillet 2018. Une évaluation indépendante publiée aujourd'hui souligne le bilan positif de l'actuel protocole qui a eu un impact socioéconomique positif pour le secteur de la pêche tant au sein de l’UE qu'au Maroc, et a contribué à une pêche plus durable. Elle a également précisé que le support sectoriel prévu par ledit protocole a, en tant qu'appui à la stratégie Halieutis de développement du secteur de la pêche au Maroc, bénéficié à toutes les régions couvertes par celui-ci.

Bons du trésor et Obligations: Des rendements globalement stables en 2017

Après une orientation baissière ayant caractérisé le marché depuis le 3e trimestre de 2014 et d’importantes baisses constatées en 2016 où certaines maturités avaient même franchi à la baisse le seuil du taux directeur, la courbe des taux des bons du Trésor ressort globalement stable en 2017. En effet, sur le marché primaire (adjudications), les taux des maturités 13, 26 et 52 semaines se sont situés, durant la séance d’adjudication du mardi 26 décembre à 2,17%, 2,19% et 2,38%, au même niveau que l’année dernière (2,1%, 2,15% et 2,34% respectivement). Les rendements des bons du Trésor à moyen terme ont, eux, marqué de légères hausses, puisque l’échéance 2 ans a offert 2,53% (contre 2,45% en 2016) au moment où la ligne 5 ans affiche une amélioration de 2 pb, à 2,76%.

FEPEX : Le Maroc demeure premier fournisseur du marché espagnol en fruits et légumes

Le Maroc a consolidé en 2017 sa position de premier fournisseur du marché espagnol en fruits et légumes, avec des exportations d’une valeur de 462,3 millions d’euros jusqu’à octobre dernier, a indiqué la Fédération espagnole des associations de producteurs exportateurs de fruits, légumes, fleurs et plantes vivantes (FEPEX).Ces importations depuis le Maroc sont en hausse de 36 pc par rapport à la même période de 2016, a souligné la FEPEX dans un communiqué, notant que le Royaume continue de renforcer, année après année, sa position de premier fournisseur étranger de l’Espagne en fruits et légumes.

Finances publiques : La Cour des comptes épingle à nouveau le gouvernement

Dans son rapport préliminaire sur l’exécution du budget de l’Etat pour l’année 2016, la Cour des comptes souligne qu’il convient de faire ressortir au niveau des ressources, les recettes fiscales brutes et les données sur les restes à recouvrer, et au niveau des dépenses, la part des recettes fiscales transférée aux collectivités territoriales, les dépenses exceptionnelles et les arriérés de paiement, relevant que ces informations sont de nature à contribuer à améliorer la lisibilité des informations afférentes aux finances publiques.

Maroc-Malawi : L’agriculture et les transports au cœur des concertations

Le Maroc et le Malawi renforcent leur coopération bilatérale. La visite d’Emmanuel Fabiano, ministre des affaires étrangères et de la coopération internationale de la République du Malawi au Maroc, confirme en effet l’orientation de son pays à tisser de nouveaux liens de coopération. L’intérêt manifesté concerne des secteurs stratégiques dont l’agriculture. Le ministre malawite qui achève sa visite au Royaume le 10 janvier s’est entretenu lundi avec Hamou Ouheli, secrétaire d’Etat chargé du développement rural et des eaux et forêts. Une rencontre durant laquelle les deux parties ont examiné les moyens de promouvoir la coopération bilatérale dans le domaine de l’agriculture. Des concertations qui déboucheront sur la conclusion de conventions au niveau bilatéral.

La bourse, meilleur placement pour la 2e année consécutive

A l’instar de 2016, certains instruments de placement financier ont continué cette année à être plus attractifs que les autres aux yeux des investisseurs. Ils ont en effet continué à offrir de meilleurs rendements. Il s’agit d’abord du marché actions, longtemps boudé par des investisseurs tiraillés entre amour et désamour pour cet outil de placement qui a fini par les reconquérir et gommer les déceptions qu’il a causées dans le passé. En termes de rendement, il est arrivé en tête de classement pour la deuxième année consécutive en 2017 ! Après une performance spectaculaire de 30% en 2016, le Masi s’est maintenu sur une tendance haussière en clôturant l’année sur une performance de 6,3%.

Le SMIG est déjà à deux vitesses, pourquoi ne pas le régionaliser ? – Lavieeco

C’est la productivité du travail qui contribue le plus à la croissance du PIB, mais cela s’est fait au détriment de l’emploi. La rémunération du travail est inférieure presque de moitié à celle du capital, et cela dure depuis longtemps. Faut-il augmenter le SMIG ou le régionaliser ? Il y a au moins trois variables économiques dont l’évolution ne manque pas d’interpeller: le pouvoir d’achat des ménages a baissé ces trois dernières années alors même que l’inflation au Maroc est parmi les plus faibles au monde ; le facteur travail contribue plus que le capital à la richesse créée ; la structure du partage de la valeur ajoutée (un jargon que les économistes utilisent pour parler de la richesse supplémentaire créée chaque année) est restée pratiquement la même depuis une vingtaine d’années, soit un peu plus d’un tiers pour les salaires et près de deux tiers pour le capital.

Hausse quasi-généralisée des secteurs cotés

Sur les 23 secteurs représentés à la place boursière casablancaise (BVC), 18 ont clôturé l’exercice 2017 sur une note positive, selon les analystes de Crédit du Maroc Capital (CDMC). Loin, certes, de la prouesse réalisée en 2016 (+30,46%), la Bourse de Casablanca parvient tout de même à maintenir le cap, grâce à l’embellie de la quasi-totalité des valeurs stars de la cote, souligne la société de bourse dans son "Bilan annuel marché Actions 2017".

Maroc : Pas de hausse des prix jusqu’en 2020

Face aux bruits quant à une éventuelle hausse des prix du gaz butane affectant les ménages, Lahcen Daoudi a choisi la page officielle du PJD pour éclairer l’opinion publique. Le ministre chargé des Affaires générales et de la gouvernance a annoncé que tout ce qui a été dit et repris concernant la hausse des prix des bonbonnes de gaz était inexacte. Daoudi a également tenu à distinguer la question de la réforme de la compensation de celle du soutien direct aux couches sociales. «Ceux qui sont actuellement bénéficiaires du soutien de la Caisse de compensation ne veulent pas que la subvention soit supprimée, car certains parmi eux consomment 100 bonbonnes de gaz par jour pour l’extraction de l’eau, ce qui signifie que cette subvention ne bénéficie pas aux couches vulnérables et pauvres».

L’Afrique couvre la moitié de ses besoins en sucre

L’année 2017 a été plutôt bonne pour la filière sucre en Afrique même si, grosso modo, la situation n’a guère évolué, avec toujours environ la moitié de ses besoins couverts par les importations. Ceci rend les Etats très vulnérables à l’évolution des cours mondiaux sans toutefois que le consommateur ne le ressente car dans la plupart des pays, le prix du sucre est réglementé. Avant de rentrer dans l’analyse du marché africain, un mot de l’évolution du marché mondial et de ses perspectives. La baisse de production en 2015/16 (164,7 millions de tonnes contre 177,4 Mt en 2014/15) a fortement fait grimper les cours mondiaux la campagne suivante, encourageant la fabrication de sucre qui est passée, selon le Département américain de l’Agriculture (USDA), à 171,4 Mt en 2016/17 et devrait atteindre 184,9 Mt en 2017/18.

Contraction de l’inflation en zone euro

L'inflation dans la zone euro s'est contractée en décembre à 1,4% conformément aux attentes des analystes, mais reste loin de l'objectif de la Banque centrale européenne (BCE). Le taux d'inflation annuel de la zone euro est ressorti à 1,4% en décembre contre 1,5% le mois précédent, selon l'estimation rapide publiée vendredi par l'office statistique européen, Eurostat, rapporte l’agence APS. Le chiffre de l'inflation en décembre est conforme aux attentes des économistes qui s'attendaient à un léger ralentissement du taux d'inflation à 1,4%. Le léger déclin des prix à la consommation des 19 pays ayant adopté la monnaie unique n'a pas bénéficié du renchérissement du prix du pétrole.

Des relations bilatérales exemplaires

En 2016, la diaspora marocaine au Canada se chiffrait à près de 73 000 personnes, notamment dans la région de Montréal. Le Maroc est aussi la troisième source d’immigrants au Québec. Chaque année, près de 2 500 jeunes Marocains se rendent au Canada pour étudier dans des collèges et des universités, traditionnellement à destination du Québec, mais récemment de manière accrue vers les autres provinces et les territoires. L’établissement des relations diplomatiques officielles entre les deux pays remonte à 1962 et l’année 2017 marque le 55ème anniversaire de ces relations bilatérales.

La bourse, meilleur placement pour la 2e année consécutive

A l’instar de 2016, certains instruments de placement financier ont continué cette année à être plus attractifs que les autres aux yeux des investisseurs. Ils ont en effet continué à offrir de meilleurs rendements. Il s’agit d’abord du marché actions, longtemps boudé par des investisseurs tiraillés entre amour et désamour pour cet outil de placement qui a fini par les reconquérir et gommer les déceptions qu’il a causées dans le passé. En termes de rendement, il est arrivé en tête de classement pour la deuxième année consécutive en 2017 !
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