Conjoncture du 25 au 29 Juin 2018



Veille Maraacid


L'UE a octroyé au Maroc près de 890 millions d'euros de financements en trois ans

Les financements octroyés par l'Union européenne (UE) au Maroc se sont élevées, au cours des trois dernières années, à 890 millions d'euros, a indiqué, jeudi à Rabat, le ministre de l'Economie et des Finances, Mohamed Boussaid. Le Royaume, qui bénéficie du statut avancé, est un partenaire exceptionnel et jouit d'une position avant-gardiste au niveau de la politique européenne de voisinage que l'UE s'est engagée à réviser, a rappelé le ministre de l'Economie et des Finances dans son exposé, ajoutant que l'UE est le premier partenaire commercial du Maroc avec 70% de la part des échanges commerciaux et le premier investisseur dans le Royaume.

Les marchands non financiers anticipent une stabilité de leur activité au deuxième trimestre

Près d’un quart (24%) des chefs d’entreprise sondés anticipe, au contraire, une hausse de leur activité au cours de cette même période, souligne le HCP dans une note relatant les principales appréciations de ces derniers telles qu’elles ressortent de ses enquêtes de conjoncture réalisées au titre du deuxième trimestre. Dans sa note de conjoncture, l’organisme public explique que ces anticipations seraient imputables, d’une part, à l’amélioration prévue des activités de l’«Entreposage et services auxiliaires des transports» et des «Activités de location et location-bail » et, d’autre part, à la baisse prévue des activités du «Transports par eau» et de la «Publicité et études de marché».

Les principales pistes de la réforme de la zone euro

Les dirigeants de l’UE doivent évaluer ce vendredi différentes pistes pour réformer la zone euro afin qu’elle puisse mieux résister aux crises, sans aboutir toutefois à des décisions majeures comme il était initialement espéré. Ils se retrouveront à 27 (le Royaume-Uni étant exclu en raison du Brexit) vendredi matin à Bruxelles, au lendemain d’une première journée de sommet dominée, elle, par les défis migratoires, rapporte l’AFP.

Conjoncture industrielle : La production et les ventes au rendez-vous

Le cinquième mois de l’année a été marqué par une amélioration de l’ensemble des branches d’activité et ce à l’exception du secteur des industries textile et cuir qui a vu sa production stagner à la même période de l’année. Le TUC au niveau des industries mécaniques et métallurgiques s’est situé autour de 66% alors qu’il est resté inchangé au niveau des industries textile et cuir, soit 72%. En ce qui concerne les industries textile et cuir, la hausse des commandes recouvre une amélioration dans l’ensemble des sous-branches à l’exception de l’industrie textile.

Industrie: Hausse de la production et des ventes en mai 2018

La production industrielle aurait connu une hausse en mai 2018, suite à une amélioration dans l'ensemble des branches d'activités à l'exception du "Textile et Cuir" où elle aurait stagné, ressort-il des résultats de l'enquête mensuelle de conjoncture de Bank Al-Maghrib. Les commandes auraient également connu une progression dans l'ensemble des branches à l'exception de l'"agro-alimentaire" où elles auraient baissé, indique la même source, qui note qu'en dépit de cette amélioration, les carnet de commandes seraient restés à un niveau inférieur à la normale, dans toutes les branches d'activité, hormis l'"agroalimentaire". L'enquête, menée auprès d'un échantillon représentatif de près de 400 chefs d'entreprise industrielle, montre que les ventes auraient enregistré aussi un accroissement tant sur le marché local qu'étranger, précisant que cette amélioration aurait concerné toutes les branches d'activité.

OPCVM : hausse de 0,79% de l’actif net à fin mai

A fin mai 2018, l'actif net sous gestion des OPCVM (Organismes de placement collectif en valeurs mobilières) a connu une hausse de 0,79 % à 433,61 milliards de dirhams en variation mensuelle, indique l'Association des sociétés de gestion et fonds d'investissements marocains (ASFIM).Cette augmentation est due à la collecte nette de plus de 4 milliards de DH, entre avril et mai 2018, qui a concerné principalement les OPCVM OCT (Obligations court terme), explique l'ASFIM dans sa lettre mensuelle d'information pour le mois de mai 2018.Les OPCVM OCT ont connu la meilleure variation mensuelle avec 0,17 %, contrairement aux OPCVM Actions qui ont affiché une performance mensuelle négative de -2,92 %, relève la même source.

Politique monétaire : taux directeur, mode d’emploi

«En matière monétaire, les changements à court terme n’influent pas notre décision de maintenir ou de changer le taux. Raison pour laquelle nous avançons 8 trimestres dans nos prévisions. Et si sur les deux ans les évolutions monétaires font que je suis en mesure d’augmenter ou de baisser les taux, à ce moment, nous procédons au changement», a indiqué le gouverneur de la Banque centrale lors du dernier Conseil.

Pêche : Les opérateurs soumettent leurs doléances à Daoudi

«La hausse du gasoil a engendré une augmentation des charges à un niveau record pour les opérateurs de la pêche, tous segments confondus» a déclaré au Reporter le président de la Confédération nationale de la pêche côtière (CNPM), Larbi Mhidi. Dans un entretien téléphonique, ce dernier a jugé que «plusieurs sociétés opérant dans le secteur de la pêche, notamment les petites unités, font actuellement face à une crise structurelle sans précédents». A l’issue de cette rencontre, Daoudi a déclaré à ces professionnels que le gouvernement œuvre actuellement à défaire les prix, annonçant un proche plafonnement des prix des carburants au Maroc.

Portefeuille public: Une maîtrise relative de l’endettement, selon Boussaid

Le ministre de l’Économie et des Finances, Mohamed Boussaid a souligné, mardi à Rabat, que le portefeuille public a été marqué en 2017 par une maîtrise relative de l’endettement à la hausse, par rapport à la période 2012-2015. Le ministre a noté que des études et recherches sont en cours pour maîtriser et traiter l’endettement des cinq établissements les plus endettés, à savoir l’Office national de l’électricité et de l’eau potable, la Société nationale des autoroutes du Maroc, l’Office national des chemins de fer, l’Agence marocaine pour l’énergie durable et le Fonds spécial routier.

Le Maroc est une référence dans l’industrie des engrais

Au premier jour de la conférence Mohamed Abdellah Zain, le secrétaire général de l'AFA a expliqué que l'objectif de la conférence, dont 300 experts et hauts fonctionnaires impliquant dans les entreprises de l'industrie mondiale des engrais est l'échange d'expertise et d'expériences, et d'examiner les derniers développements technologiques dans l'industrie des engrais. Au menu de la conférence 21 présentation technique seront exposées sur les derniers développements et innovations dans l'industrie des engrais, en plus de la présentation des histoires de succès dans le monde arabe «dans le domaine de l'acide phosphorique, nous montrer le complexe Al-Sharif phosphate 5 pistes technologie, alors que nous avons entendu dans le passé Seulement deux étapes.

Energie durable : l’expérience marocaine applaudie à Monaco

Suite au programme ambitieux fixé par les Objectifs de développement durable des Nations Unies, l'Accord de Paris sur le climat et le Sommet One Planet, le Forum Transition Monaco vise à agir comme un catalyseur de changement, tout en s'attaquant aux grands défis que sont la croissance démographique, le changement climatique et l'épuisement des ressources naturelles, les entreprises de tous les secteurs et de toutes les industries devront trouver des moyens de transformer radicalement leurs modèles économiques.

De nouveaux instruments budgétaires pour la zone euro

Pour renforcer la résistance des économies de la zone euro face à des chocs asymétriques, la Commission européenne a proposé la création de nouveaux instruments budgétaires : un outil d’aide à la mise en place des réformes et un mécanisme de stabilisation. Ses propositions s’inscrivent dans un ensemble d’idées pour compléter l’union économique et monétaire. Cependant, elles semblent peu ambitieuses. Cela dénote des difficultés à atteindre un consensus entre les Etats membres sur la nécessité d’une capacité budgétaire centralisée.

L’Union Européenne inaugure son plan d’investissement extérieur avec le Maroc

L'Union européenne (l’UE) a procédé, mardi 19 juin 2018, au lancement de son Plan d'investissement extérieur (PIE) au Maroc. A partir de ce fonds, 4,1 milliards d'euros de subventions seront mis à disposition pour soutenir le développement durable dans les pays d'Afrique subsaharienne et du voisinage européen, tout en permettant aux opérateurs publics et privés de tirer parti de leurs atouts respectifs.Pour Johannes Hahn, commissaire européen chargé des négociations d'élargissement et de la politique européenne de voisinage, « le Plan européen d'investissement extérieur contribuera à mobiliser des fonds privés importants dans des secteurs clés de l'économie marocaine et permettra aux entrepreneurs locaux de créer des emplois dans le pays.

L’indice des prix à la consommation (IPC) du mois de Mai 2018

Les hausses des produits alimentaires observées entre avril et mai 2018 concernent principalement les «fruits» avec 10,8%, les « poissons et fruits de mer » avec 3,7%, les « viandes » avec 1,3% et le « lait, fromage et œufs » avec 0,7%. En revanche, les prix ont diminué de 2,5% pour les « légumes» et de 0,1% pour le « café, thé et cacao ». Pour les produits non alimentaires, la hausse a concerné principalement les prix des « carburants » avec 1,3%.

Enquête trimestrielle de Conjoncture secteurs des industries extractive, manufacturière, énergétique, environnementale et secteur de la construction, Juin 2018

La présente note relate les principales appréciations des chefs d’entreprises telles qu’elles ressortent des enquêtes de conjoncture réalisées par le HCP au titre du 2ème trimestre 2018 auprès des entreprises opérant dans les secteurs des industries manufacturières, de l’extraction, de l’énergie, de l’environnement ainsi que dans celui de la construction. Ces appréciations portent sur l’évolution de l’activité au cours du 1er trimestre 2018 et les anticipations pour le 2ème trimestre 2018.

Services marchands : L’activité stagne au premier trimestre

Les enquêtes trimestrielles du Haut-commissariat au Plan prennent le pouls de l’évolution des secteurs de l’économie ainsi que celui des chefs d’entreprise. La toute dernière note porte sur le secteur des services non-financiers et celui du commerce de gros. Les deux sont de véritables baromètres de la vitalité ou non de l’activité économique réelle. Selon la note de juin, l’on apprend qu’au premier trimestre de l’année, le taux d’utilisation des capacités de prestation des services marchands non-financiers se serait établi à 79%. Un peu plus de la moitié des patrons sondés pensent que l’activité a connu une stagnation, contre 28% qui conviennent à une hausse.

Déficit budgétaire de 14,2 MMDH à fin avril

La situation des charges et ressources du Trésor dégage un déficit budgétaire de 14,2 milliards de dirhams (MMDH) à fin avril 2018, contre 12,8 MMDH durant la même période un an auparavant, indique la Direction du trésor et des finances extérieures (DTFE), relevant du ministère de l’Economie et des Finances. Cette progression du niveau du déficit a été induite essentiellement par une baisse du solde des comptes spéciaux du Trésor au moment où les dépenses globales ont baissé et les recettes ordinaires ont quasi-stagné, explique la DTFE dans sa note de conjoncture du mois de juin 2018, publiée récemment.

Déficit budgétaire de plus de 19 MMDH à fin mai 2018

La situation des charges et ressources du Trésor dégage un déficit budgétaire de 19,3 milliards de dirhams (MMDH) à fin mai 2018, contre 8,3 MMDH un an auparavant, indique lundi, la Trésorerie Générale du Royaume (TGR), relevant du ministère de l'Economie et des Finances. Dans son bulletin mensuel de statistiques des finances publiques de mai 2018, rapporte la MAP, la TGR fait savoir que les recettes ordinaires se sont établies à 115,9 MMDH au titre des cinq premiers mois de 2018, en hausse de 24,8% compte tenu d'un versement exceptionnel de 24 MMDH effectué à partir du compte d'affectation spéciale intitulé "Compte spécial des dons des pays du Conseil de Coopération du Golfe" au profit du budget général.

Maroc: Les marchands non financiers anticipent une stabilité de leur activité au deuxième trimestre

S’il n’est pas en hausse, le moral des chefs d’entreprise opérant dans le secteur des services marchands non financiers ne s’en trouve pas pour autant affecté, si l’on en croit les résultats des enquêtes de conjoncture réalisées par le Haut-commissariat au plan (HCP) au titre du deuxième trimestre 2018. En effet, selon le Haut-commissariat, plus de la moitié des chefs d’entreprise du secteur des services marchands non financiers (64%) anticipe une stabilité de l’activité globale pour le deuxième trimestre de cette année.

Bien qu'en baisse, les investissements directs étrangers ciblant l'Afrique ont connu l’une de leurs meilleures années en 2017

Malgré leur baisse en valeur, la part des investissements directs étrangers reçus par le continent africain sur de nouveaux projets (12,5%) est l'une des plus importantes de ces dernières années, selon des indications données par un rapport publublié par FDI Intelligence dans le cadre de l'Africa Trade & Investment Global Summit.

L’Union Européenne inaugure son plan d’investissement extérieur avec le Maroc

La Banque mondiale a accordé, hier mardi, un financement additionnel de 130 millions $ en faveur de la décentralisation en Tunisie, un processus qui confère aux autorités locales la responsabilité de répondre aux besoins de développement de leur collectivité. Ce financement additionnel est destiné au Programme de développement urbain et de gouvernance locale (PDUGL), dont le principal objectif est de doter les collectivités locales des capacités nécessaires pour gérer leur propre budget. Ceci, tout en associant les citoyens aux décisions d’investissement, afin de favoriser le développement économique local.

Pneumatiques : un marché encore loin de la maturité

Le marché des pneumatiques a sensiblement évolué au cours de la dernière décennie, passant de 1,5 million d'unités écoulées en 2007 à 3,5 millions en 2017, soit une hausse de plus de 133%. Il faut dire que la croissance du parc roulant, qui a enchainé les records de ventes ces dernières années, a participé à cette augmentation. La baisse des droits de douane et la concurrence ont tiré les prix vers le bas, incitant les consommateurs à acheter des produits neufs et réduire le délai de renouvellement.

Prix des hydrocarbures : la tendance toujours à la hausse

Les prix moyens des hydrocarbures ont augmenté de 9,1% depuis leur libéralisation totale en 2016, estime le Haut Commissariat au Plan (HCP) dans une note traitant de l'impact de la variation des cours du pétrole au niveau international sur l’évolution des prix des carburants au Maroc.Les prix à la pompe, devenus très corrélés à partir de 2016 aux cours mondiaux du Brent (93%), dépendent du taux de change du dollar et des coûts de revient des importateurs, des distributeurs, du stockage et des marges commerciales, souligne le HCP, relevant toutefois que leurs variations restent, relativement, moins corrélés (90%).

Industrie céramique: La filière compte renouer avec la croissance en 2018

Les industriels de la céramique affichent leur optimisme malgré la baisse des ventes des matériaux de construction dans un contexte de crise de l’immobilier. «Nous sommes optimistes car ce sont les moyens et petits promoteurs qui créent actuellement la croissance dans le marché de l’immobilier. Ces derniers utilisent pour la majorité du carrelage local, ce qui va booster nos ventes et nous permettre, peut-être, de renouer avec la croissance en 2018», tient à préciser Mohsine Lazrak, président de l’Association professionnelle de l’industrie céramique (Apic).

Industrie céramique: Le carrelage espagnol inonde le marché

En pleine crise du marché immobilier, le carrelage espagnol baisse drastiquement ses prix et s'accapare les deux tiers des importations marocaines, loin devant l'Egypte. Le quota espagnol a augmenté de 21% en 2017.La hausse des importations espagnoles de la céramique inquiète les producteurs marocains au moment où le marché subit de plein fouet la crise de l’immobilier. A fin mars dernier, les volumes importés ont augmenté de 20% par rapport à la même période de 2017.

Al Omrane, une décennie d’expertise : Un investissement cumulé de 72,5 milliards de dirhams et 500.000 unités produites en 10 ans

Après une série de réformes engagées depuis 2004, Al Omrane entame aujourd’hui une nouvelle phase de son plan de développement. Acteur stratégique en matière d’habitat, le Groupe est de plus en plus conscient de la nécessité d’accompagner les grands chantiers de réformes engagés par l’Etat dont le démarrage de la nouvelle régionalisation, et de relever les défis afférents aux mutations profondes que connaît le secteur.Résolument engagé dans le social, le Groupe a pour mission la mise en œuvre des politiques de l’Etat en matière d’habitat et de développement urbain.

Les professionnels analysent la conjoncture : Un premier trimestre satisfaisant pour les grossistes

Après les industriels et les opérateurs du secteur de la construction, c’est aux prestataires des services marchands non financiers et commerçants de gros d’évaluer la dynamique de leurs activités au titre des trois premiers mois de l’année. Globalement le premier trimestre de l’année était plutôt stable pour les prestataires de services marchands non financiers. 51% des chefs d’entreprises ont confirmé ce constat au Haut-Commissariat au Plan (HCP) et ce dans le cadre de son enquête trimestrielle de conjoncture. Ainsi, le taux d’utilisation des capacités de prestation des services marchands non financiers (TUC) se serait établi à 79% à fin mars 2018.

Note de conjoncture de la DTFE (Juin 2018)

D’après la dernière mise à jour des perspectives économiques établie par le Fonds Monétaire International (FMI) en avril, l’économie mondiale devrait progresser de 3,9% en 2018 contre +3,8% en 2017. Cette légère amélioration est attribuable essentiellement à la reprise des investissements dans les économies avancées, à la poursuite d’une bonne dynamique de croissance dans les pays émergents d'Asie ainsi qu’à la confirmation de signes de reprise chez plusieurs pays exportateurs de matières premières. Au niveau des économies avancées, l’activité économique devrait s’accroître de 0,2 point par rapport à 2017 pour atteindre+2,5% en 2018.

Grande distribution: «Le secteur est mûr pour une révolution»

Au moment où le débat sur la répartition des richesses entre agriculteurs et grandes surfaces fait rage en France et avec l'affaire du boycott de certains produits de grande consommation au Maroc, Oxfam publie son rapport intitulé «Derrière le code-barre: des inégalités à la chaîne». Il en ressort que les inégalités sont omniprésentes dans l’ensemble de l’économie mondiale et le secteur agro-alimentaire ne fait pas exception. C’est à travers plusieurs chapitres que l’ONG britannique révèle les failles du secteur. Au sommet, de grands supermarchés et d’autres géants de l’alimentaire dominent les marchés mondiaux de l’alimentation.

Brexit : Lagarde prévoit un afflux de sociétés financières dans la zone euro

La directrice générale du Fonds monétaire international (FMI) Christine Lagarde a estimé lundi à Dublin que la zone euro devrait être prête à accueillir une "arrivée massive" de sociétés financières en raison du Brexit."Il est crucial de faire en sorte que tout soit prêt en termes de régulation et de supervision pour l'arrivée massive d'entreprises financières qui finiront par déménager de l'endroit où elles sont à l'heure actuelle pour l'Europe continentale, et l'Irlande", a-t-elle déclaré lors d'un discours à l'occasion d'une conférence sur la monnaie unique européenne.

Enquête trimestrielle de Conjoncture Secteurs des Services marchands non financiers et du Commerce de gros, Juin 2018

La présente note relate les principales appréciations des chefs d’entreprises telles qu’elles ressortent des enquêtes de conjoncture réalisées par le HCP au titre du 2ème trimestre 2018 auprès des entreprises opérant dans les secteurs des services marchands non financiers et du commerce de gros. Ces appréciations portent sur l’évolution de l’activité au cours du 1er trimestre 2018 et les anticipations pour le 2ème trimestre 2018.

Industrie automobile : Magneti Marelli lance à Tanger les travaux de son usine d’amortisseurs

Magneti Marelli a procédé le 26 juin 2018, au lancement de la construction de son usine de production des amortisseurs pour voitures et véhicules utilitaires, à la Zone Franche « Tanger Automotive City », à Tanger, en présence de Moulay Hafid Elalamy, Ministre de l’Industrie, de l’Investissement, du Commerce et de l’Économie Numérique, Pietro Gorlier, PDG de Magneti Marelli et Fouad Brini, Président de Tanger Med.

​Baisse des souscriptions effectuées sur le marché des adjudications à fin avril 2018

Les souscriptions effectuées, durant les quatre premiers mois de 2018, sur le marché des adjudications, principale source de financement interne du trésor, se sont établies à 36,7 milliards de dirhams (MMDH) à fin avril 2018, en baisse de 3,5 MMDH, soit 8,6% par rapport au montant souscrit au cours de la même période un an auparavant, indique la Direction du Trésor et des finances extérieures (DTFE), relevant du ministère de l'Economie et des Finances.

Les prix à la consommation poursuivent leur trend haussier

L’indice des prix à la consommation (IPC) a enregistré une hausse au cours du mois de mai 2018, selon les chiffres publiés récemment par le Haut-commissariat au plan (HCP). En effet, dans une note d’information rendue publique dernièrement, l’organisme public a indiqué que l’IPC du mois dernier a connu une hausse de 0,5% par rapport au mois précédent. Rappelons qu’au cours des deux précédents mois d’avril et de mars, l’indice des prix à la consommation s’était élevé respectivement à 0,3% et 0,1%, après avoir enregistré une baisse de 0,5% en février et une hausse de 0,1% en janvier de cette année.

Les industriels anticipent une hausse de la production manufacturière

La confiance semble s’installer parmi les chefs d’entreprise opérant dans les secteurs de l’industrie manufacturière, extractive, énergétique, environnementale et de la construction. Selon les conclusions des enquêtes de conjoncture réalisées par le Haut-commissariat au plan (HCP), les patrons de l’industrie manufacturière anticipent une hausse de la production manufacturière au cours du deuxième trimestre 2018.

La BADEA approuve le financement de projets de développement en Afrique d'un montant de 232 millions de dollars

La Banque arabe pour le développement économique en Afrique (BADEA) a approuvé, mercredi à Tanger, des opérations d'une enveloppe de 232 millions de dollars, proposées pour le financement de plusieurs projets des secteurs public et privé en faveur des pays de l'Afrique subsaharienne.Dans ce cadre, rapporte la MAP, le président du Conseil d’administration de la BADEA, Yousef Ben Ibrahim Al Bassam, a souligné que "le Conseil a adopté de nombreux projets de financement d'un montant global de 232 dollars au profit de 25 pays africains".

Flexibilité du dirham: Quel bilan pour une réforme tant attendue ?

Le nouveau régime de change adopté par le Maroc après de longues années de réflexion est bel et bien en marche. Accueillie avec un certain scepticisme par nombre de citoyens et d'économistes, cette réforme boucle en ce mois de juin ses six premiers mois de mise en oeuvre. Durant cette courte période, cette réforme a pu s'installer en douceur dissipant ainsi les appréhensions et les inquiétudes suscitées au départ.

Immobilier/Taux immobiliers: La fenêtre reste toujours propice à l’achat

Décrocher un prêt immobilier à un taux inférieur à 5% est devenu courant. Il y a encore trois ans, seuls les dossiers excellents pouvaient prétendre à des conditions aussi attractives, relève un professionnel de l’immobilier. En moyenne, les acquéreurs pouvaient obtenir un taux de 4,8% en 2017. Il est resté stable au premier trimestre 2018.

Immobilier: Avec plus de garanties, les banques font à nouveau confiance au secteur

De par les indicateurs dont nous disposons, nous envisageons une sortie de la crise que connaît le secteur immobilier depuis plusieurs années. Mais cette sortie de crise ne se fera pas d’un seul tenant, elle devra s’étaler sur une durée de deux à trois ans avant de retrouver la dynamique qui a imprégné la production de logements au lendemain de la loi de finances de 2010. Il faut noter, également, que cette sortie ne pourra se faire qu’avec l’appui des pouvoirs publics. Aussi, le ministère de tutelle, les ministères des Finances et de l’Intérieur doivent aider le secteur à retrouver sa dynamique. Du côté du ministère de l’Aménagement du territoire, de l’Urbanisme, de l’Habitat et de la Politique de la Ville, la concertation avec la FNPI est déjà là.
Conjoncture du 25 au 29 Juin 2018

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