Conjoncture du 02 au 06 Juillet 2018



Veille Maraacid


Perspectives agricoles: Les grandes tendances pour la décennie à venir

Les Perspectives agricoles de l’OCDE et de la FAO 2018-2027 tablent sur un tassement de la croissance de la demande mondiale de produits agroalimentaires, accompagné de nouveaux gains de productivité dans le secteur. Les prix des principaux produits agricoles devraient par conséquent rester faibles sur les dix prochaines années.

La situation économique nationale durant le premier trimestre 2018

Le secteur primaire a affiché un net ralentissement de son rythme de croissance passant de 13% au premier trimestre de l’année 2017 à 2,7% durant la même période de l’année 2018. Cette évolution s’explique par une hausse de 2,5% de la valeur ajoutée de l’activité agricole au lieu de 14,8% une année auparavant et de celle de la pêche de 5% au lieu d’une baisse de 4,3%. De son côté, la valeur ajoutée du secteur secondaire, en volume, a réalisé une augmentation de 4,1% au lieu de 0,7% le même trimestre de l’année 2017.

HCP: Point de conjoncture, Juillet 2018

L’activité économique nationale aurait progressé de 3%, au deuxième trimestre 2018, soit le même niveau prévu au mois d’avril 2018, au lieu de +3,2% un trimestre auparavant, dans un contexte de hausse de 3,1% de la valeur ajoutée agricole. Hors agriculture, l’activité aurait légèrement ralenti, affichant un accroissement de 3%, au lieu de 3,3% au trimestre précédent, pénalisée notamment par la décélération de la valeur ajoutée minière. Au troisième trimestre 2018, la croissance du PIB non-agricole se poursuivrait au rythme de 3,3%, en variation annuelle. Avec une hausse anticipée de 2,6% de la valeur ajoutée agricole, la croissance de l’économie nationale s’établirait à +3,2%, au lieu de +3,9% au troisième trimestre 2017.

Energies renouvelables: Le Maroc connaît une dynamique soutenue

Le secteur des énergies renouvelables connaît une dynamique soutenue au Maroc, a indiqué le ministre de l’énergie, des mines et du développement durable, Aziz Rebbah qui a mis en exergue les perspectives prometteuse de ce domaine dans le cadre du développement durable qui renforce l’équilibre entre les dimensions environnementales, économiques et sociales.S’exprimant mercredi à l’ouverture d’un atelier de sensibilisation sur: « le pompage solaire: levier de l’efficacité énergétique et de développement durable dans le secteur de l’agriculture », M. Rebbah a rappelé les avantages multiples du recours à l’énergie verte en termes d’investissements, d’emploi, d’innovation, d’industrie, d’entreprenariat ainsi qu’en ce qui concerne la recherche scientifique.La représentante du Programme de l’ONU pour le développement (PNUD) a salué, de son côté, les efforts consentis par le Maroc pour développer l’économie verte et garantir l’efficacité énergétique mettant en exergue l’apport du Royaume dans la recherche de solutions pertinentes aux défis du développement durable.

Brexit : saisir les opportunités et limiter les risques dans la finance

La sortie programmée du Royaume-Uni de l’Union européenne – le Brexit – pose des questions spé-cifiques dans le secteur de la finance, Londres étant devenue au fil des ans la grande place financière de l’Union européenne et même de la zone euro. Selon l’accord de sortie qui sera conclu, Londres pourrait perdre son « passeport financier », c’est-à-dire la possibilité, pour ses entreprises du secteur financier et des assurances, d’offrir leurs services dans tous les pays de l’Union sans y être dûment implantées, régulées et contrôlées. Ce passeport bénéficie aujourd’hui non seulement aux banques britanniques, mais surtout aux sociétés de pays tiers qui utilisent la capitale britannique comme tête de pont en Europe.Le principal enjeu du Brexit tient à ses conséquences sur la stabilité et la fragmentation financière en zone euro.
  • Source : .Web
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Avis de tempête sur le commerce international : quelle stratégie pour l’Europe ?

Le système multilatéral commercial est aujourd’hui gravement menacé par le pays qui en a été l’inspi­rateur principal, les États­Unis. La position améri­caine focalisée sur les déséquilibres commerciaux bila­téraux qui résulteraient de politiques commerciales déséquilibrées est une erreur d’analyse. Elle n’a non seulement que peu de sens en présence de chaînes mondiales de valeurs mais elle rate aussi sa cible: ce sont les déséquilibres des balances commerciales agrégées qui posent problème et celles ­ci dépendent surtout du dif­férentiel entre investissement et épargne domestiques et peu de la politique commerciale.

Emploi: l'OCDE s'inquiète de la stagnation des salaires les plus faibles

Si l'emploi va mieux dans la zone OCDE et a retrouvé son niveau "d'avant crise", la croissance des salaires est en revanche "plus morose" et l'organisation s'inquiète de leur stagnation, en particulier pour les "travailleurs les plus faiblement rémunérés". Si l'emploi va mieux dans la zone OCDE et a retrouvé son niveau "d'avant crise", la croissance des salaires est en revanche "plus morose" et l'organisation s'inquiète de leur stagnation, en particulier pour les "travailleurs les plus faiblement rémunérés"."Ce qui est plus inquiétant encore, c'est que la stagnation des salaires touche beaucoup plus les travailleurs faiblement rémunérés que ceux qui se situent au sommet de l'échelle des salaires", met en garde l'organisation.

Energies renouvelables : au moins 20 millions de postes supplémentaires seront créés d’ici 2030

Une étude de référence sur l’émergence des emplois verts commanditée par le Programme de l’ONU pour l’environnement et réalisé par l’Institut Worldwatch, avec l’assistance technique du Global Labour Institute de l’Université Cornell, montre que les investissements liés aux actions entreprises pour faire face au changement climatique et à ses effets ont déjà généré de nouveaux emplois dans de nombreux secteurs et économies et pourraient créer des millions d’autres emplois, aussi bien dans les pays industrialisés que dans les pays en développement.

Economie responsable: Des petites startups difficilement lucratives

72% des jeunes Africains sont attirés par l’entrepreneuriatLes principales filières qui ressortent de l’analyse sur les jeunes entrepreneurs verts africains sont l’agriculture en tête avec 49% de l’ensemble des projets. Cet auto-entrepreneur aide des coopératives et des groupements de femmes à créer des pépinières de jeunes plants de cacaoyers, une essence à longue durée de vie et qui contribue à la protection des sols.

Economie responsable: Des premiers pas en Afrique

Manque d’éducation, de soutien gouvernemental, procédures légales… les freins Quelques incitations à l’entrepreneuriat vert, mais des défis à toutes les étapesEn plus de certains facteurs socioculturels qui grippent eux aussi la machine (manque de connaissance des bénéfices de l’économie verte, mauvaise perception sociale de l’entrepreneuriat ou peur de l’échec), l’Afrique affiche un retard criant dans le domaine de la recherche/développement (R&D).

La recette de l’Exécutif pour relever le défi de l'emploi

Encourager et accompagner l'entrepreneuriat, création de nouveaux emplois, maintien d'emplois existants, Faciliter l'insertion au marché du travail, ... Tels sont quelques grands chantiers mis en avant par le chef du gouvernement pour relever le défi de l'emploi au Maroc. Le gouvernement est déterminé a relever le défi de l'emploi par la mobilisation nationale des secteurs publics, des entreprises, de la société civile et de la jeunesse, a affirmé lundi le chef du gouvernement, Saâd Eddine El Othmani.

Demande mondiale adressée au Maroc : Le HCP anticipe une amélioration au 3e trimestre 2018

La demande mondiale adressée au Maroc poursuivrait son amélioration au 3e trimestre 2018, affichant une hausse de 5,4%, profitant ainsi aux industries automobile et aéronautique et à la confection, estime le Haut-commissariat au Plan (HCP). Toutefois, le renchérissement des cours mondiaux du pétrole prévu à 80$/baril au 3e trimestre, au lieu de 52$/baril un an plus tôt, continuerait à peser sur la balance commerciale et les importations des produits énergétiques, ajoute le HCP dans sa note de conjoncture du mois de juillet 2018.De leur côté, les exportations de phosphates et de leurs dérivés auraient connu un retournement à la hausse avec une contribution positive de 4,7 points au 2ème trimestre, après un premier trimestre morose, profitant de la hausse des cours mondiaux des dérivés de phosphate, tandis que les importations auraient crû de 9,2% au trimestre dernier, en variation annuelle.

La croissance économique s'établit à 3,2%

Avec une hausse anticipée de 2,6% de la valeur ajoutée agricole, la croissance économique nationale se serait établie à 3,2% au 3e trimestre 2018, contre 3,9% durant la même période une année auparavant, estime le Haut-commissariat au Plan (HCP). Pour sa part, le PIB non-agricole s'améliorerait de 3,3%, au troisième trimestre 2018, au lieu de 3% un trimestre plus tôt, précise le HCP dans sa note de conjoncture du mois de juillet 2018, notant que la valeur ajoutée du secteur tertiaire croîtrait de 3,4% au 3e trimestre, contribuant pour environ +1,6 point à la croissance globale du PIB.Compte tenu d'une hausse de 3,1% de la valeur ajoutée agricole, la croissance économique nationale se serait établie à 3%, au deuxième trimestre 2018, au lieu de 3,2% au trimestre dernier, constate par ailleurs le HCP, ajoutant que le PIB non-agricole se serait accru de 3% au titre de la même période.

Le déficit atteint 51,775 MMDH à fin mai

Le déficit commercial s'est aggravé de 11,5% pour atteindre 51,775 milliards de dirhams (MMDH) à fin mai 2018 contre 46,442 MMDH lors de la même période un an auparavant, selon l'Office des changes. Les importations se sont élevées à 218,74 MMDH, en hausse de 10,3%, alors que les exportations ont progressé de 10% pour se chiffrer à 166,97 MMDH, précise l'Office des changes dans sa note relative aux indicateurs mensuels des échanges extérieurs du mois de mai 2018.Le taux de couverture des importations par les exportations s'est ainsi établi à 76,3% au cours des cinq premiers mois de cette année, contre 76,6% un an auparavant, selon la même source.

Produits de la pêche commercialisés : 7,3 milliards de dirhams en 2017

«Félicité pour l’ensemble de ses réalisations, l’ONP a été appelé à poursuivre et renforcer son intervention au niveau de l’activité de commercialisation qui représente d’importants enjeux pour la structuration du secteur halieutique», souligne un communiqué sanctionnant les travaux du conseil, présidé par le ministre de l’agriculture, de la pêche maritime, du développement rural et des eaux et forêts, Aziz Akhannouch, et Mbarka Bouaida, secrétaire d’État chargée de la pêche maritime.

Les dessous de l’endettement africain

Selon le rapport du FMI sur les perspectives économiques régionales (2017), le nombre de pays à faible revenu surendettés ou risquant de le devenir est passé de 7 en 2013 à 12 en 2016. Il y en a même qui se sont déclarés en défaut de paiement comme le Mozambique, en janvier 2017. Une histoire qui semble se répéter en dépit des séquelles indélébiles des anciennes crises de l’endettement. Alors, pourquoi les vieux démons de la dette reviennent encore roder autour du continent africain ?

L’Asmex met le cap sur la Belgique

La dynamisation des échanges commerciaux entre la Belgique et le Maroc constitue une des principales priorités de l’année pour l’Asmex ;L’ASMEX fait de la dynamisation des échanges commerciaux entre la Belgique et le Maroc une de ses principales priorités cette année, l’objectif étant de faire valoir le potentiel de l’offre exportable nationale sur ce marché, de repérer et soutenir les secteurs à fort potentiel.L’agence a valorisé les exportations des entreprises belges vers le Maroc en 2017 à 889.7 Millions d’Euros et les importations à 332.8 Millions.

L’économie nationale afficherait une progression de 3% au deuxième trimestre

Au deuxième trimestre de l’année 2018, l’activité économique nationale aurait enregistré une progression de 3%, au lieu de +3,2% un trimestre auparavant, a indiqué le Haut-commissariat au plan (HCP). Ce qui correspond au même niveau prévu au mois d’avril 2018, dans un contexte de hausse de 3,1% de la valeur ajoutée agricole, a-t-il souligné. Selon les principaux indicateurs économiques estimés pour le deuxième trimestre, « hors agriculture, l’activité aurait légèrement ralenti, affichant un accroissement de 3%, au lieu de 3,3% au trimestre précédent, pénalisée notamment par la décélération de la valeur ajoutée minière », a relevé l’organisme public dans une note rendue publique récemment.

Dividende, quand tu nous tiens!

Si le dividende constitue depuis toujours une variable dans le choix des titres à acquérir pour un investissement sur le marché action, il demeure que dans le contexte marocain actuel, de faiblesse des taux d’intérêt, le rendement des actions cotées prend une dimension plus importante.A ce titre, le rendement moyen obligataire se situe actuellement autour de 3%, contre un rendement moyen du dividende sur le marché action gravitant autour de 4%. En effet, partant de la formule du taux de rendement d’une action, il conviendrait de s’interroger sur le fondement du dividende.

Céréales : Une production de plus de 100 millions de quintaux

Selon le ministre de l'Agriculture, de la Pêche maritime, du Développement rural et des Eaux et Forêts, Aziz Akhannouch, la production céréalière devrait dépasser 100 millions de quintaux au cours de l'actuelle saison agricole.Concernant l’olivier, le ministre a fait savoir que la production totale est estimée à 1,56 million de tonnes, soit une hausse de 48% par rapport à la saison précédente, ce qui contribuera à la production d'environ 120 mille tonnes d’olives conditionnées et près de 140 mille tonnes d'huile d'olive, sachant que l’oléiculture couvre une superficie d'environ 1,045 million d’hectares, au titre de cette saison agricole.Par ailleurs, a-t-il poursuivi, il est prévu que la production d'agrumes atteigne 2,28 millions de tonnes, celle des dattes 111,2 tonnes et celle des légumineuses 2,47 millions de quintaux, soit une hausse de 3% par rapport à la dernière saison agricole.

Italie: le gouvernement adopte des mesures pour l'emploi

Le gouvernement italien a adopté tard lundi soir des mesures visant à favoriser l'emploi dans la péninsule, rendant ainsi plus coûteux les licenciements ou sanctionnant les entreprises subventionnées qui délocalisent. Le gouvernement italien a adopté tard lundi soir des mesures visant à favoriser l'emploi dans la péninsule, rendant ainsi plus coûteux les licenciements ou sanctionnant les entreprises subventionnées qui délocalisent.Réuni tard lundi soir, le Conseil des ministres "a adopté un décret-loi introduisant des mesures urgentes pour la dignité des travailleurs et des entreprises", indique un communiqué.

Croissance économique: Le ralentissement se confirme

Selon le haut commissariat au plan (HCP), l’activité économique nationale aurait progressé de 3%, au deuxième trimestre 2018, soit le même niveau prévu au mois d’avril 2018, au lieu de +3,2% un trimestre auparavant, dans un contexte de hausse de 3,1% de la valeur ajoutée agricole. En effet l’activité agricole aurait progressé à un rythme plus soutenu qu’attendu au deuxième trimestre 2018, grâce notamment à l’amélioration des perspectives de récoltes des cultures printanières. La conjonction d’un hiver 2017/2018 humide et d’un printemps 2018 particulièrement pluvieux et ensoleillé aurait favorisé le développement des cultures fruitières, fourragères, des oléagineuses et des céréales de printemps, portant leurs rendements à des niveaux dépassant la moyenne des années 2012-2017.

Conjoncture : C'est pas la joie, estime le HCP

L’activité économique nationale aurait progressé de 3%, au deuxième trimestre 2018, soit le même niveau prévu au mois d’avril 2018, au lieu de +3,2% un trimestre auparavant, dans un contexte de hausse de 3,1% de la valeur ajoutée agricole. Hors agriculture, l’activité aurait légèrement ralenti, affichant un accroissement de 3%, au lieu de 3,3% au trimestre précédent, pénalisée notamment par la décélération de la valeur ajoutée minière. Au troisième trimestre 2018, la croissance du PIB non-agricole se poursuivrait au rythme de 3,3%, en variation annuelle. Avec une hausse anticipée de 2,6% de la valeur ajoutée agricole, la croissance de l’économie nationale s’établirait à +3,2%, au lieu de +3,9% au troisième trimestre 2017.

La croissance en retrait au premier semestre, selon le HCP

Soutenue par les activités non agricoles, la croissance économique nationale s’est située à 3,2% au 1er trimestre 2018 contre 3,5% durant la même période un an plus tôt, indique le Haut-commissariat au plan (HCP). En effet, cette croissance a été tirée par la consommation finale des ménages et l’investissement dans le contexte d’une inflation maitrisée et du besoin de financement de l’économie nationale en augmentation, précise le HCP dans sa note d’information relative aux comptes nationaux du 1er trimestre 2018.

Une croissance au ralenti au premier trimestre : Un PIB de plus de 238 milliards de dirhams à fin mars

L’économie nationale a évolué durant les trois premiers mois de l’année à un rythme moins soutenu que la même période de l’année précédente. Le Haut-Commissariat au Plan (HCP) note dans ce sens une croissance de l’ordre de 3,2% contre 3,5% observée au premier trimestre 2017. Une évolution qui reste tirée par la consommation finale des ménages et l’investissement et ce dans un contexte d’une inflation maîtrisée et d’un besoin de financement croissant. C’est ce que l’on peut relever en gros de la note d’information sur la situation économique nationale élaborée par le département d’Ahmed Lahlimi. En volume, le Produit intérieur brut a atteint les 238,48 milliards de dirhams contre 231,13 milliards de dirhams à la même période de l’année précédente.

Interdiction des sacs en plastique : un budget de 395 MDH dédié à l’accompagnement des acteurs impactés par loi 77-15

Interdiction des sacs en plastique : un budget de 395 MDH dédié à l’accompagnement des acteurs impactés par loi 77-15Le représentant de la société « Ouafa plastique », qui a profité du fonds de reconversion, a, de son côté, expliqué avoir été impacté par la loi 77-15, avant d’être approché par une délégation du ministère de l’Industrie, de l’investissement, du commerce et de l’économie numérique qui l’a orienté vers Maroc PME pour travailler sur son projet de reconversion.Cette rencontre, marquée par la présence d’industriels et de représentants de la société civile, a traité de plusieurs thématiques, dont « l’accompagnement à la reconversion des industriels », les « alternatives aux sacs en plastique » et le « rôle de la société civile ».

Matériaux de construction: Les opérateurs réclament un pack fiscal

Il s’agit notamment des incitations contenues dans la loi de finances 2017 et qui octroient l’exonération quinquennale de l’IS et la possibilité de recruter une dizaine de salariés à 10.000 DH bruts dans le cadre du programme Tahfiz.L’entreprise bénéficiaire peut recruter jusqu’à 10 personnes et bénéficier de l’exonération de l’IR, de la prise en charge par l’Etat de la part patronale des cotisations sociales et de la taxe de formation professionnelle. L’incohérence en question concerne le fait qu’un nouvelle unité bénéficie de l’exonération d’IS pendant cinq ans et peut recruter une dizaine de cadres en exonération de toutes les charges fiscales et sociales.

2017 : année record pour l’emploi en France

Si le taux de chômage en moyenne annuelle est resté haut, à 9,4 % de la population active, il a toutefois diminué pour la deuxième année consécutive, de 0,7 point après – 0,3 point en 2016, malgré la réduction drastique des contrats aidés. Et, selon l’Insee, les femmes seraient un tout petit peu moins touchées que les hommes. Résultat : 27,8 millions de personnes étaient en emploi en France fin 2017, dont 25 millions de salariés.

Budget: Les recettes ordinaires dopées par les dons

Après une tendance haussière sur les mois précédents, les recettes ordinaires s’orientent à la baisse à fin mai dernier. A fin mai 2018, le taux de couverture des dépenses ordinaires par les recettes ordinaires a été de 124,5% contre 104,9% un an auparavant. Sur ces bases, le solde ordinaire fait ressortir un excédent de 22,8 milliards de DH. Ceci grâce, bien évidemment, au recours exceptionnel au Compte spécial des dons des pays du Golfe.

Export: Le Maroc en dessous de 1% du marché mondial

Les importations du Maroc réalisées dans le cadre des accords de libre-échange enregistrent en 2016 une évolution plus forte qu’en 2015, elles affichent une augmentation de 10,3% contre +1,1%. Ces achats totalisent 136 milliards de DH. En moyenne, les importations bénéficiant du régime préférentiel représentent 50 à 60% du total.

La croissance mieux que prévu... mais beaucoup d’incertitudes

Bank Al-Maghrib a relevé ses prévisions de croissance de 0,3 point à 3,6% pour 2018 à l’issue du conseil de politique monétaire de juin. Mais il y a un sentiment de morosité et d’incertitudes qui planent sur la santé de l’économie. Le surplus de croissance anticipé tient essentiellement à la prise en compte des chiffres de la campagne agricole. La production céréalière dépasserait 98 millions de quintaux. La Banque centrale avait bâti ses premières prévisions sur l’hypothèse d’une production de 70 millions de quintaux.

Hydrocarbures – Le prix du Diesel a atteint « le record historique » de 10 DH/litre, les stations sont priées d’afficher les prix

Au Maroc, au moment où le prix du Diesel a atteint le record historique de 10 DH/litre, ministère chargé des Affaires générales et de la gouvernance a affirmé que la décision conjointe publiée dans le bulletin officiel du 21 juin 2018 stipule que les propriétaires des stations sont tenus d’afficher le nom de chaque type de carburant et son prix ( toutes taxes comprises) et ce à travers un tableau visible aux clients depuis la route permettant l’accès à la station de distribution.

Maroc: La croissance économique nationale ralentit à 3,2% au 1er trimestre (HCP)

Dans ces conditions, le secteur primaire a affiché un net ralentissement de son rythme de croissance passant de 13% au 1er trimestre 2017 à 2,7% durant la même période de 2018, fait savoir le HCP, qui explique ce résultat par une hausse, au 1er trimestre 2018, de 2,5% de la valeur ajoutée de l’activité agricole et de celle de la pêche de 5%.De son côté, la valeur ajoutée du secteur secondaire, en volume, a réalisé une augmentation de 4,1% au 1er trimestre 2018 au lieu de 0,7% un trimestre plus tôt. La valeur ajoutée du secteur tertiaire, a, quant à elle, affiché une augmentation de 3% au lieu de 2,9% le même trimestre de l’année 2017, marquée par une amélioration des activités du commerce avec 4,5% au lieu de 4,3%, des services financiers et assurances (3,3% au lieu de 2,9%), des postes et télécommunications (2,5% au lieu de 1,2%), des services de l’éducation, de la santé et de l’action sociale (0,2% au lieu de -2%).

Carburants : L'affichage des prix devient obligatoire

Le ministère chargé des Affaires générales et de la gouvernance a affirmé que la décision conjointe publiée dans le bulletin officiel du 21 juin 2018 stipule que les propriétaires des stations sont tenus d'afficher le nom de chaque type de carburant et son prix ( toutes taxes comprises) et ce à travers un tableau visible aux clients depuis la route permettant l'accès à la station de distribution. Cette décision conjointe entre le ministre délégué chargé des Affaires générales et de la Gouvernance, le ministre de l'Industrie, de l'Investissement, du Commerce et de l'Économie numérique et le ministre de l'Énergie, des Mines et du Développement durable, définit les procédures d'information du consommateur sur les prix de vente des carburants liquides, a souligné le ministère dans un communiqué parvenu dimanche à la MAP.

Croissance économique de 3,2% au 1er trimestre (HCP)

Soutenue par les activités non agricoles, la croissance économique nationale s'est située à 3,2% au 1er trimestre 2018 contre 3,5% durant la même période un an plus tôt, indique le Haut-commissariat au plan (HCP). En effet, cette croissance a été tirée par la consommation finale des ménages et l'investissement dans le contexte d'une inflation maitrisée et du besoin de financement de l'économie nationale en augmentation, précise le HCP dans sa note d'information relative aux comptes nationaux du 1er trimestre 2018.

La flambée des prix de l’énergie grignote le pouvoir d’achat

D’abord les carburants automobiles, et aujourd’hui le gaz naturel : les prix de l’énergie commencent à peser lourdement sur le budget des ménages, après trois années où le recul des cours pétroliers avait fait baisser la pression inflationniste dans ce secteur et contribué au regain du pouvoir d’achat. Une tendance fâcheuse – mais difficilement contrôlable – pour le gouvernement, puisqu’elle va en partie effacer les hausses de salaires, notamment celles qui sont liées à la baisse des cotisations maladie et chômage de janvier et octobre 2018.

Boussaid: Etudes en cours pour alléger les cinq structures les plus endettées

Le ministre de l’Économie et des Finances, Mohamed Boussaid a souligné, mardi à Rabat, que des études et recherches sont en cours pour maîtriser et traiter l'endettement des cinq établissements les plus endettés, à savoir l'Office national de l'électricité et de l'eau potable, la Société nationale des autoroutes du Maroc, l'Office national des chemins de fer, l'Agence marocaine pour l'énergie durable et le Fonds spécial routier. Lors d'une présentation devant la commission de contrôle des finances publiques à la Chambre des représentants à propos du rapport de la Cour des comptes portant sur "Le secteur des établissements et entreprises publics au Maroc: Ancrage stratégique et gouvernance", Boussaid a indiqué que le portefeuille public a été marqué en 2017 par une maîtrise relative de l'endettement à la hausse, par rapport à la période 2012-2015.

Légère hausse de l’IPPIEM hors raffinage en mai

L’indice des prix à la production industrielle, énergétique et minière (IPPIEM) est de nouveau en hausse, après la baisse enregistrée au cours du mois d’avril 2018 et la hausse constatée durant le mois plus tôt. « L’indice des prix à la production du secteur des « Industries manufacturières hors raffinage de pétrole» a enregistré une hausse de 0,1% au cours du mois de mai 2018 par rapport au mois d’avril 2018 », a indiqué le Haut-commissariat au plan (HCP). A en croire le Haut-commissariat, cette hausse serait aussi due à la baisse enregistrée dans la «Fabrication de produits en caoutchouc et en plastique» (0,2%), dans le «Travail du bois et fabrication d’articles en bois et en liège» (1,1%) et dans la «Fabrication de textiles» (0,4%).
Conjoncture du 02 au 06 Juillet 2018

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