Commerce du 09 au 13 Avril 2018



Veille Maraacid


Commerce électronique : Pas mal de retard à rattraper

La ministre de la poste, des télécommunications, des technologies et du numérique, Imen Houda Feraoun a indiqué, hier, que le projet de loi relatif au commerce électronique est venu pour fixer le coté qui manque dans la loi sur le commerce classique. En réponse aux préoccupations et aux questions des sénateurs, lors de l'examen du projet de loi relatif au commerce électronique, Feraoun a expliqué que le e-commerce n'est pas le payement électronique mais c'est la signature des contrats commerciaux à distance. Feraoun a précisé que le projet de loi n'a pas resserré l'étau sur les intermédiaires électroniques ou commerçants mais leur exige seulement de posséder un registre de commerce et un site du domaine.dz, ajoutant que son utilisation est gratuite.

E-commerce : Qui paye le prix de la livraison gratuite ?

Le caractère artificiel de la livraison «gratuite»Privilégier la livraison de qualité pour se démarquerPour survivre, les distributeurs doivent sortir de la course à la livraison « commodité », et se positionner sur la livraison qualitative.

Mme Boucetta s’entretient à Bali avec le ministre indonésien du commerce...

Mme Boucetta s’entretient à Bali avec le ministre indonésien du commerce au sujet de la coopération bilatéraleLa Secrétaire d'Etat auprès du ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération Internationale, Mme Mounia Boucetta, s'est entretenue, mardi à Bali, avec le ministre du Commerce de la République d'Indonésie, M. Enggartiasto Lukita, des moyens susceptibles de renforcer la coopération bilatérale.L’éloignement géographique ne constitue pas un frein pour la consolidation des relations bilatérales dans un monde de plus en plus mondialisé a estimé M. Lukita, dans une déclaration à la MAP, ajoutant que les deux parties adoptent la même vision en ce qui concerne la coopération.

Les nouvelles routes du commerce méditerranéen passeront par le Sud et l 'Est de la région

la montée en gamme des pays de Sud-Med et d’Est-Med, notamment visible à travers les exportations de biens automobile et TIC ;Au Maroc, pour la période 2012-2016, les exportations automobiles au sein de la Méditerranée représentent 13% de l’ensemble des exportations du pays, et, si elles restent principalement destinées au marché européen, ses partenaires incluent aussi la Turquie et l’Egypte.TIC : la Tunisie et le Maroc - Euro-Med

Commerce transfrontalier : lenteur et complexité au niveau des frontières

Madagascar est le neuvième, parmi les Pays les moins avancés (PMA), ayant ratifié l’Accord sur la facilitation des échanges (AFE) en 2017. En effet, Madagascar a mis en place une feuille de route de cinq ans (2018-2023), pour réaliser ses engagements sur la facilitation des échanges. «Les autres pays abandonnent peu à peu les contrôles traditionnels aux frontières pour un système de contrôle a posteriori, intégré dans un contexte généralisé de facilitation des échanges.

Commerce extérieur : les exportations cartonnent, mais les importations aussi

Les exportations du secteur frôlent les 2 milliards de DH, en hausse de 18,7%.La progression est de 27% à près de 8 milliards de DH. A fin février 2018, les réserves internationales nettes se situent à 233,5 Mds DH contre 240,9 Mds DH à fin 2017.

Réforme du Livre V du Code de commerce: De multiples lacunes relevées par des juristes

L'article 563 du Livre V, repris comme tel dans sa nouvelle mouture, précise que le créancier peut recourir à l'ouverture d'une procédure de redressement. ''Le projet devrait préciser le droit du créancier à intervenir volontairement dans une procédure de redressement ou de liquidation, pour solliciter une expertise comptable ou apporter ses observations à la procédure. A l'issue de la procédure de sauvegarde, le texte prévoit en cas d'échec l'ouverture d'une procédure de redressement ou de liquidation judiciaire.

Maroc: 18 certificats négatifs délivrés en février dernier à Essaouira

Concernant la répartition territoriale des certificats négatifs délivrés durant la même période, la ville d'Essaouira s'adjuge la première position avec 13 certificats négatifs (soit 72%), suivie des communes rurales d'Ounagha, Lagdadra et Takoucht avec 05 certificats négatifs (soit 28%).Concernant les secteurs d'activités économiques, le secteur des services arrive au premier rang avec 8 certificats négatifs (soit 44%), suivi du secteur du commerce avec 5 certificats négatifs (soit 28%) et du secteur des BTP, avec 3 certificats négatifs (soit 17%), explique la même source, faisant savoir que les secteurs de l'industrie et du tourisme viennent en dernière position avec 01 certificat négatif chacun (soit 5,5% chacun).

Maroc: Les exportations automobiles vers la Méditerranée représentent 13% de l’ensemble des exportations nationales

Les exportations automobiles au sein de la Méditerranée représentent 13% de l'ensemble des exportations du Maroc au cours de la période 2012-2016, montre une récente étude de Coface, qui fait état de l'émergence de nouvelles routes commerciales entre les pays d'Afrique du Nord et les pays d’Est-Med.En effet, la politique d’intégration dans les chaînes de valeurs mondiales avec le développement et le renforcement des secteurs industriels par le Maroc et la Turquie a contribué à une reconfiguration des exportations automobiles au sein de la Méditerranée, révèle cette étude sur les nouvelles routes du commerce méditerranéen, qui note que la Turquie concentre 13% des exportations automobiles régionales avec une intensification des flux vers les pays d’Euro-Med.

Côte d’Ivoire : la Banque mondiale octroie un prêt de 200 millions de dollars pour soutenir et développer la filière noix de cajou

La Banque mondiale a approuvé aujourd’hui un prêt de 200 millions de dollars destiné à la promotion de la filière anacarde en Côte d’Ivoire. La Côte d’Ivoire est aujourd’hui le premier exportateur et le deuxième producteur mondial de noix de cajou brutes. Ce nouveau projet est en phase avec le Plan national de développement de la Côte d’Ivoire (2016-2020) et avec le Programme national d’investissement agricole, qui font tous deux du développement de la filière anacarde une priorité nationale.

Boussaid priorise le partenariat arabo-africain

Dynamiser la coopération entre le Maroc, les pays d’Afrique subsaharienne et la Banque islamique de développement (BID), tel est l’un des principaux objectifs du ministre de l’Économie et des finances, Mohamed Boussaid. Des études stratégiques seront ainsi réalisées sur des secteurs porteurs de croissance. Sur ce point, notent les initiateurs de ce programme, «les principaux secteurs qui représenteraient un potentiel inexploité de partenariats commerciaux sont les machines, les équipements électriques, les intrants agricoles (tels les engrais), les industries agroalimentaires, les industries de la santé et de la pharmacie». Enfin, en octobre 2017, la Société nationale des transports et de la logistique (SNTL) a signé, à Casablanca, un partenariat avec l’ITFC, en vue du lancement d’une étude qui vise à développer la logistique commerciale, et faciliter les investissements entre le Maroc et l’Afrique subsaharienne.

Défis et contraintes des économies de la CEDEAO dans une zone de libre-échange avec le Maroc

La toute dernière initiative est relative à la demande d'adhésion du Maroc à la CEDEAO.Par conséquent, dans le contexte actuel de la CEDEAO, où les investissements et la compétitivité sur les marchés d'exportation sont de plus en plus attrayants, l'économie sénégalaise devra sans doute s'adapter à l'éventuelle entrée du Maroc dans la CEDEAO.Quels sont les externalités économiques et sociales inhérentes à l'adhésion du Maroc dans la zone de libre-échange de la CEDEAO?

Commerce international – Les échanges aux frontières facilités

Complexité et lenteur définissent le quotidien des opérateurs lorsqu’il s’agit d’aborder les procédures d’importation et d’exportation de marchandises. Entre au­tres, sur le plan de la transparence où chaque membre devra mettre en ligne, à disposition des opérateurs, les informations concernant les procédures d’import et d’export en vue de les faciliter en plus de la mise en place des paiements électroniques, toujours pour plus de rapidité et de sécurité dans les procédures douanières. Selon lui, la mise en place des procédures de l’AFE permettra de rehausser la compétitivité nationale et le développement économique du pays.

Rwanda : lancement d'une plateforme digitale dédiée au commerce international

Selon lui, via cette plateforme, les opérateurs peuvent rapidement (5 minutes au maximum) avoir accès à un guide présentant chacune des étapes des procédures du commerce, notamment les licences, les permis et le processus de dédouanement. A en croire les autorités rwandaises, la numérisation de ces procédures, sur le plan national, s'inscrit dans le cadre d'un programme gouvernemental visant à rendre accessible l'ensemble des services gouvernementaux en ligne d'ici à 2024. De plus, 80 fonctionnaires de différents services sont affectés à répondre en ligne aux préoccupations et doléances des usagers de la plateforme.

Nécessité d'une infrastructure électronique à jour et d'un arsenal juridique

La transformation digitale et intelligente dans les villes arabes nécessite une infrastructure électronique constamment mise à jour et un arsenal juridique assurant des transactions électroniques sécurisées, a indiqué, samedi à Rabat, la secrétaire d’Etat chargée du Commerce extérieur, Rkia Derham.

E-commerce: nécessité d'arrêter les articles de loi et d'associer les autres secteurs pour une meilleure application sur le terrain

Des membres du Conseil de la nation ont mis l'accent lundi à Alger, sur la nécessité d'arrêter les articles de loi prévus dans le projet de loi sur le e-commerce pour une meilleure application sur le terrain par les instances concernées.Répondant aux préoccupations des membres du Conseil de la nation, la ministre de la Poste, des Télécommunications, des Technologies et du Numérique, Houda Imane Feraoun, a précisé que le e-commerce ne signifiait pas le paiement électronique, ce nouveau procédé prévu dans le projet de loi concernant uniquement les commerçants et exigeant que la personne exerçant ce genre de commerce détienne une carte électronique.Selon la ministre, le projet de loi ne peut pas fixer les montants des transactions, lesquels sont soumis au prix du marché, rappelant par là même, que les commerçants exerçant le e-commerce bénéficieront de toutes les mesures incitatives qui sont accordées aux commerçants et investisseurs en Algérie, et à travers les différentes voies juridiques et les textes disponibles.

Bâtiment & construction: Bientôt un écosystème intégré

Certes, la partie industrie est minime, mais il faut redémarrer toutes les chaînes pour relancer la vente des logements et des matériaux de construction et booster également la production locale», soutient Moulay Hafid Elalamy, ministre de l’Industrie et du Commerce.Le nouvel écosystème regroupera 3 composantes dont chacune sera déclinée en filières: construction, BTP et industrie des matériaux de construction. Outre ce chantier, il devra concocter une stratégie de relance du secteur de l’immobilier.

Joint-venture : Aksal et Holmarcom œuvrent pour le développement de l’immobilier commercial

C’est l’engagement qu’ont pris d’un commun accord Aksal et Holmarcom.Une joint-venture a été dans ce sens créée dont la vocation est d’acquérir du foncier commercial et développer de nouveaux projets répondant aux besoins d’un secteur en forte croissance.Cette collaboration vise ainsi à regrouper l’expertise complémentaire des deux groupes et mutualiser leurs moyens financiers.

Adoption de trois projets de loi : commerce, répression des fraudes et apprentissage

La séance a été consacrée au vote de trois projets de loi relatifs aux conditions d’exercice des activités commerciales, à la protection du consommateur et à la répression des fraudes, le troisième projet de loi, lui, fixe les règles applicables en matière de formation par apprentissage.Aussi, à travers les contraintes rencontrées au niveau du contrôle aux frontières et pour éviter toute équivoque avec les autres secteurs chargés du contrôle, il a été procédé à la substitution de la mention «refus temporaire» par «admission temporaire», et ce, en apportant plus de précisions, jugées nécessaires pour une interprétation claire de la loi au niveau de l’article 54 dont les dispositions encadrent les cas autorisés pour l’admission temporaire pour une mise en conformité du produit importé. Les dispositions du nouveau texte amendent l’article 25 de la loi de 2004 relative à l’exercice des activités réglementées.

Bank Al-Maghrib: le dirham s'apprécie de 0,23% vis-à-vis de l'euro

Le dirham s'est apprécié de 0,23% par rapport à l’euro et s'est déprécié de 0,59% vis-à-vis du dollar au cours de la période allant du 29 mars au 4 avril 2018, selon les indicateurs hebdomadaires de Bank Al-Maghrib (BAM). Du 29 mars au 4 avril, le taux interbancaire s’est élevé à 2,30%, tandis que le volume des échanges a atteint 5,4 MMDH contre 3,8 MMDH une semaine auparavant, ajoute la Banque centrale. S'agissant des indicateurs boursiers, le MASI s'est déprécié de 1% sur la même période, ramenant sa performance depuis le début de l’année à 4,1%, relève BAM, ajoutant que le volume global des échanges s’est établi à 712,9 millions de dirhams (MDH) contre 1,1 MMDH la semaine dernière.

Tanger Med reçoit la communauté logistique

Ils viendront ainsi appréhender les nouvelles tendances et les enjeux de la supply chain collaborative dans le monde et au Maroc. En effet, cet événement organisé Tanger Med se tiendra sous le thème : « Supply Chain Collaborative : Enjeux et Facteurs Clés de Succès ». L’objectif de ce rendez-vous unique entre les chargeurs et les opérateurs des chaines logistiques, est de montrer que la supply chain collaborative représente l’avenir en matière de logistique et que la collaboration est un facteur important de création de valeur.

«La complexification des exportations est cruciale»

La première montre que la marge de diversification des exportations d’un pays est tributaire de sa capacité, en termes de capabilités, à élaborer des produits similaires ou proches de ceux qu’il exporte et pour lesquels il bénéficie d’avantages comparatifs révélés. La deuxième conclusion est que les produits diffèrent par le nombre de capabilités que requiert leur élaboration, tandis que les pays, eux, diffèrent par le nombre de capabilités qui sont présentes dans leur territoire. Cette étude permet d’analyser la réalité de l’offre exportable de notre pays, ainsi que le potentiel de diversification que recèlent les différentes branches d’activité de son économie sous l’angle en particulier des produits proches de ceux pour lesquels elle a un avantage comparatif révélé.

Tunisie-Commerce extérieur : Les exportations augmentent et le déficit baisse

En effet, les exportations ont enregistré une hausse de 27,3% contre 14,6% durant la même période en 2017. Les importations ont enregistré sous ce régime une hausse de 31,0% contre une hausse de 16,6% durant la même période en 2017. Sous le régime général, les exportations ont enregistré une hausse importante de 60,7 % contre une baisse de 11,0% durant la même période en 2017.

Le FMI met à nouveau en garde contre le protectionnisme

À Hong Kong, Christine Lagarde, dirigeante du FMI, a fait part de son inquiétude quant à un retour du protectionnisme alors que la guerre commerciale entre les États-Unis et la Chine se poursuit. Mais selon elle, les politiques menées par certains pays, en particulier les États-Unis et la Chine, qui soutenaient l'économie, vont s'estomper et entraîner, à terme, un ralentissement du rythme de la croissance.Le discours de Christine Lagarde s'inscrit dans un contexte de regain des tensions entre la Chine et les États-Unis.

« Défendre le ­commerce n’est pas seulement une obligation commerciale, c’est une décision morale »

Nos deux pays, l’Australie et le Canada, signataires de cet accord, partagent un patrimoine commun, des ­principes démocratiques libéraux, une vision commune et une confiance dans la force écono­mique du commerce mondial. Il est impératif que le ­Canada, l’Australie et d’autres pays partageant les mêmes vues collaborent pour repousser cette menace contre la libéralisation du commerce mondial et le système fondé sur des règles qui l’appuie depuis si longtemps.Dans ce contexte, on ne saurait exagérer l’importance de la décision prise par le Canada, l’Australie et neuf autres nations de la communauté transpacifique de faire front commun.

Egypte : les échanges commerciaux avec la France atteignent 2,5 milliards d'euros en 2017, en hausse de 21,8%

Selon les statistiques des douanes françaises, les échanges commerciaux entre la France et l’Egypte ont enregistré en 2017, une augmentation de 21,8% à 2,5 milliards d’euros, après avoir connu leur plus fort recul depuis 10 ans en 2016 (-27,5% en glissement annuel à 2 milliards d’euros).Après s’être contractées pour la première fois en 4 ans en 2016 (-27,3%), les exportations françaises à destination de l’Egypte ont augmenté de 20,6% en 2017 pour atteindre 1,9 milliard d’euros. Ce rebond des exportations françaises s’explique par l’augmentation significative des ventes « d’équipements mécaniques, matériel électrique, électronique et informatique » (+62,5% à 671 millions d’euros), devenu premier poste à l’export vers l’Egypte.

Attijariwafa bank et IFC veulent stimuler les échanges transfrontaliers en Afrique

Attijariwafa bank et IFC veulent stimuler les échanges transfrontaliers en AfriqueLes deux établissements viennent de signer à Abidjan un accord pour stimuler l’investissement et le commerce transfrontalier en Afrique. Mais la faiblesse du commerce transfrontalier et le manque de financements accessibles aux PME freinent la croissance économique.

Le 4e forum commercial USA-Maroc le 19 avril à Washington

La 4e édition du forum commercial USA-Maroc, un rendez-vous annuel qui se tient dans les marchés clés des Etats-Unis, aura lieu le 19 avril à Washington. Le forum fournira une plate-forme pour les hauts fonctionnaires, les chefs d'entreprise influents, les experts commerciaux et les parties prenantes pour discuter du développement du commerce entre les Etats-Unis, le Maroc et le reste du continent africain et explorer de nouvelles opportunités commerciales.

Le Maroc ouvre résolument ses frontières à la route de la soie chinoise

Un accord d’entente pour la création d’un conseil d’affaires conjoint de la route de la soie a été signé le 27 mars à Casablanca, en marge du Forum économique sino-marocain, entre le Maroc, représenté par Faiçal Mekouar, vice-président général de la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM), et la Chine, représentée par Jiang Zengwei, président du Conseil chinois pour le développement du commerce international (CCPIT), selon le journal MarocHebdo. Pour rappel, le 23 mars, à Rabat, la Banque marocaine du commerce extérieur pour l’Afrique et la Banque de développement de Chine ont signé un accord d’entente pour renforcer leur coopération en matière d’investissement, selon un communiqué publié sur le site de la banque marocaine. Cet accord d’entente a été ratifié, indique ce communiqué, dans la lignée de celui conclu par le Maroc et la République populaire de Chine en novembre 2017 dans le cadre du projet de route de la soie consacré «au développement des infrastructures, incluant les transports, la construction automobile et un parc technologique.

Le jeu du commerce mondial

Dans sa structure actuelle, l'ordre économique mondial a besoin de fonctionner comme un jeu coopératif aux règles suivantes: engagement de chaque participant à commercer librement et équitablement, crédibilité et vérifiabilité de ces engagements, existence de mécanismes de facilitation et de contrôle de la coopération, et menace de sanctions effectives pour ceux qui ne jouent pas le jeu.Les accords commerciaux existants doivent également être modernisés si nécessaire, de sorte qu'ils reflètent mieux les réalités actuelles et futures, de même qu'il incombe aux sociétés et autres acteurs qui bénéficient disproportionnellement des échanges commerciaux d'intensifier la poursuite d'activités socialement responsables.

Étude : L’économie informelle pèse plus de 20% du PIB

L’économie informelle pèse plus de 20% du PIB, hors secteur primaire et 10% des importations formelles, selon une étude présentée jeudi à la presse par la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM).Réalisée en 2014 par la CGEM, cette étude, intitulée « l’économie informelle/ impact sur la compétitivité des entreprises et proposition de mesures d’intégration », indique que l’économie informelle impacte de manière variable les secteurs d’activités: 54% dans le textile et habillement, 32% dans le transport routier de marchandises, 31% dans le BTP et 26% dans l’industrie agroalimentaire et tabac, hors secteur primaire.

B7: les gens d'affaires réaffirment leur foi dans le libre-échange

Les organisations qui regroupent les gens d'affaires des pays du G7 ont renouvelé leur profession de foi envers le libre-échange, vendredi, au terme d'une rencontre de deux jours à Québec, en prévision du sommet du G7 qui se tiendra en juin à La Malbaie.«Pour parvenir à un commerce plus ouvert, les entreprises et les gouvernements doivent lutter ensemble contre le protectionnisme», peut-on lire dans la déclaration commune produite par les participants au Sommet d'affaires B7 (B pour «business»), en référence au G7.Ouvrir les marchés, confirmer les accords commerciaux existants, conclure de nouvelles ententes, renforcer des institutions comme l'Organisation mondiale du commerce, voilà quelques-unes des recommandations des gens d'affaires.

Egypte : Hausse de 21,8% des échanges commerciaux avec la France

Selon les statistiques des douanes françaises publiées par l’agence d’information africaine Ecofin, les échanges commerciaux entre la France et l’Egypte ont enregistré en 2017, une augmentation de 21,8% à 2,5 milliards d’euros, après avoir connu leur plus fort recul depuis 10 ans en 2016 (-27,5% en glissement annuel à 2 milliards d’euros).Le solde commercial bilatéral, traditionnellement excédentaire, s’améliore de 18,4% pour atteindre 1,2 milliard d’euros en faveur de la France. L’Egypte constitue ainsi le 43ème client mondial de la France, le 8ème dans la région de l’Afrique du nord et Moyen-Orient et son 1er client au Proche-Orient.

« Seuls 16 % des échanges commerciaux africains sont continentaux »

Zone de libre-échange continentale africaine : encore un long chemin à parcourir. Le mercredi 21 mars dernier, au cours d’un Sommet extraordinaire de l’Union africaine (UA) à Kigali au Rwanda, 44 pays africains ont signé un accord instaurant une zone de libre-échange continentale.

Bilan 2017 du e-commerce en France : les ventes sur internet en hausse de 14% sur un an

Grâce aux multiples actions que nous menons chaque année, à notre investissement dans les études du marché réalisées par notre service études, en partenariat avec les plus grands instituts de sondage et institutions officielles de statistiques et à notre implication dans toutes les relations avec les parties prenantes, la Fevad est reconnue comme le référent en matière de e-commerce et de vente à distance.Être adhérent à la Fevad, c’est la garantie d’être informé en temps réel des éléments impactant le secteur et de pouvoir anticiper les grandes évolutions du marché, grâce à un fil d’informations continue de très haute qualité :* un accès réservé aux indicateurs et études inédites pour avoir une parfaite connaissance des marchés et des comportements des consommateurs et adapter la stratégie d’entreprise en conséquence
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