Agriculture et pêche du 01 au 05 Octobre 2018



Veille Maraacid


Œufs : Fin des élevages en cages d'ici 2025 pour le leader français

Le leader français de l'œuf de consommation Matines proposera d'ici 2025 100 % d'œufs « alternatifs », c'est-à-dire issus d'élevages de poules élevées au sol, en plein air et bio. « L'année dernière, nous étions à 70 % de cages, l'année prochaine, nous serons à 50 % de cages, en 2025 à zéro », a déclaré à l'AFP David Cassin, directeur qualité de la filière œufs du groupe Avril.

Produits bio : un potentiel sous-exploité

Longues saisons de croissance des cultures, disponibilité de la main-d’oeuvre et de superficies facilement convertibles sont parmi les éléments favorisant l’augmentation de la production. La superficie plantée s’élève à 8 500 ha d’après des chiffres de la Fimabio. Le prix constitue un facteur rédhibitoire pour les petits revenus.

Sommet de l'Elevage : Stéphane Travert ne fait aucune annonce au sujet de la sécheresse

La sécheresse s'est affirmée mi-juillet, ce qui est extrêmement tardif et complique la réactivité. Mais les syndicats tirent la sonnette d'alarme. La saison est trop avancée pour qu'une repousse soit possible même si le temps change. Le prix de la paille et du foin flambent, et les disponibilités sont faibles. La situation est devenue catastrophique.

Agriculture climato-intelligente, agroécologie et carbone du sol : vers des conjugaisons gagnantes

Le changement climatique pose des questions inédites à l’agriculture. Elle doit s’y adapter et tenter de l’atténuer alors qu’elle en subit les conséquences. Trois approches sont fortement débattues et portent sur ces relations entre agriculture et climat : l’agriculture climato-intelligente, l’agroécologie et l’initiative 4 pour 1000 relative au carbone du sol. Au-delà des divergences conceptuelles, les auteurs de ce nouveau numéro de Perspective

Maroc-Russie : Une volonté commune pour développer la coopération et les échanges agricoles

Le potentiel restant à développer en la matière est cependant encore très important. Dans une rencontre bilatérale, le jeudi 4 octobre, Aziz Akhannouch ministre de l’Agriculture, de la Pêche Maritime, du Développement Rural et des Eaux et Forêts, et Dmitry Patrushev, ministre de l’Agriculture de la Fédération de Russie, ont exprimé, à ce sujet, leur volonté ferme d’aller de l’avant en la matière.

Agadir: Les défis posés par le stress hydrique

Cette rencontre organisée par l’institut agronomique et vétérinaire Hassan II, vise à échanger les bonnes pratiques et les informations sur les dernières connaissances et innovations dans les zones les plus touchées par le stress hydrique. Les conférenciers y exposeront les stratégies européennes et des pays du sud de la méditerranée concernant la gestion des ressources hydriques.

M. Akhannouch organise le secteur des PAM au Maroc

Le ministre de l’Agriculture et de la pêche maritime, M. Aziz Akhannouch, veut mettre de l’ordre dans le secteur des plantes médicinales toxiques et mettre fin à l’anarchie qui caractérise l’herboristerie au Maroc. Dans ce sens, le ministère de l’Agriculture et de la pêche maritime travaille actuellement sur un projet de loi pour réglementer la filière des plantes médicinales toxiques afin de mettre de l’ordre dans ce secteur et de protéger la santé des Marocains.

L’Indice des prix des produits alimentaires baisse en septembre malgré des réserves conséquentes (FAO)

L'Indice des prix des céréales publié par l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) a chuté de 2,8%, une situation qui s'explique par des prévisions faisant état de vastes cultures de maïs aux Etats-Unis qui ont entraîné une diminution des cotations à l'exportation. Les prix mondiaux du riz et du blé ont également chuté pendant le mois. Des ventes et des expéditions importantes de blé en provenance de Russie expliquent en partie cette chute.

SFP releases 2018 reduction fisheries report

Nine percent (0.8 million tonnes) of the total catch for reduction purposes comes from poorly managed fisheries (Category C), a drop from 16 percent last year. The volume coming from poorly managed fisheries has been decreasing since 2016, and is currently the lowest percentage since the annual overview began publication in 2011.

Affichage et enfumage, mamelles de la loi agriculture et alimentation

Tant d’attentes, tant d’énergie déployée pour un texte de loi qui ne convainc finalement ni les producteurs, ni les consommateurs. Les uns s’estimant floués dans la formation des prix et les autres dans leurs attentes sur la qualité des aliments. Mardi 2 octobre, l’Assemblée nationale approuvait le texte final du "Projet de loi pour l'équilibre des relations commerciales dans le secteur agricole et alimentaire et une alimentation saine et durable" issu des Etats généraux de l’alimentation.

Sur la sécheresse et l’antispécisme, « le Gouvernement doit se réveiller ! »

L’édition 2018 du Sommet de l’élevage s’est ouverte mercredi 3 octobre sur fond d’inquiétudes des éleveurs. La sécheresse tardive inédite qui les préoccupe aura de lourdes conséquences économiques dans les élevages. Sur ce sujet, la FNSEA demande au ministre de l’agriculture, attendu jeudi 4 octobre, « d’avoir la décence de répondre aux questions posées depuis cet été ». Le syndicat réclame des mesures financières concrètes, pour aider les éleveurs à tenir l’hiver. La profession attend aussi un soutien plus marqué de l’État face à l’extrémisme antispéciste.

Ces microorganismes qui nourrissent et protègent les plantes

Aujourd’hui, les sols appauvris par la culture intensive nécessitent souvent l’apport de fertilisants (les engrais) et de divers pesticides pour assurer les rendements agricoles. De nouveaux enjeux transcendent donc les horizons actuels de l’agriculture vers des pratiques agro-écologiques pour valoriser la biodiversité du sol tout en réduisant l’apport d’intrants chimiques.

Le Nigeria monte en capacité de production d’engrais

«Auparavant, six usines d'engrais fonctionnaient à 10% de leur capacité, mais avec l'introduction du PFI, 11 usines ont été réhabilitées au cours de la première phase et aujourd'hui, 18 usines sur 32 participent à ce programme » a-t-il indiqué.

Le FIDA et The Lab s’allient dans la lutte contre le changement climatique en faveur des agriculteurs en Afrique

Le Laboratoire mondial d'innovation pour le financement climatique (the Lab) et le Fonds international de développement agricole (FIDA) ont créé un partenariat pour renforcer la résilience au changement climatique pour les petits exploitants agricoles d'Afrique de l’Ouest et centrale en développant des instruments financiers innovants.

Mais que font l'UE et la FAO en Afrique ?

Environ 80% du soutien de l'UE envers la FAO provient du Département de développement et de coopération internationale de la Commission européenne, le reste des contributions émanant du Département chargé des opérations d'aide humanitaire et de la protection civile de la Commission européenne, des départements de l'UE spécialisés dans les sols, la recherche ou encore l'agriculture, les pêches, la sécurité alimentaire et la protection des plantes ont également contribué.

Le ministère de l’Agriculture déterminé à appliquer la loi sur la transhumance pastorale

Le ministre de l'Agriculture, de la pêche maritime, du développement rural et des eaux et forêts, Aziz Akhannouch, a présidé mardi à Agadir la première réunion de la commission nationale des parcours pastoraux, consacrée à la discussion de la matérialisation de la loi 13-113 et ses textes d'application ainsi que les mécanismes et les moyens de son application effective, et ce avec la contribution de tous les partenaires et intervenants concernés par l'activité pastorale.

A Dakhla, le projet de scientifiques pour créer un "espace vert"...

«Trois S», un groupe international de scientifiques, a élaboré un projet visant à lutter contre les changements climatiques dans les zones arides du Maroc et à y favoriser l'agriculture. Un site pilote de 25.000 hectares dans la région de Dakhla a été choisi pour expérimenter ce plan d'action. Coût total d'exécution : 625 millions de dollars.

Stocker le carbone dans les sols agricoles

Présent dans les sols sous forme de matières organiques, comme les résidus végétaux et les microorganismes, le carbone est très bénéfique pour la santé des sols agricoles. "Par contre, le défrichage et la mise en culture des sols font en sorte que beaucoup de carbone est rejeté dans l'atmosphère. On sait que les sols agricoles pourraient stocker davantage de carbone, mais on se questionne à savoir comment faire pour qu'il soit retourné au sol et qu'il soit stabilisé", explique la doctorante.

La sécheresse fait craindre une accélération des sorties

Après un printemps plutôt favorable à la pousse de l'herbe et à la constitution des stocks de fourrage, l'été 2018 aura été marqué dans bon nombre de départements par un déficit hydrique marqué, accentué pas plusieurs épisodes successifs de grosse chaleur. La combinaison de ces deux facteurs s'est traduite dès la mi-juillet par des prairies qui sont passées du vert au jaune paillasson puis au gris poussiéreux. Les orages du mois d'août ont très ponctuellement permis d'améliorer la situation.

L’urine, un fertilisant prometteur ?

Riche en nutriments, l’urine représente une intéressante source de fertilisants renouvelables et à faible impact énergétique. Des chercheurs d’Irstea, spécialistes de la réutilisation des eaux usées pour l’agriculture, collaborent avec la société Ecosec pour mieux évaluer les bénéfices et les risques de l’utilisation de l’urine comme engrais, et poser les bases scientifiques de cette filière peu exploitée à ce jour.

La terre est notre métier poursuit son développement, à l'image de la bio

Le salon La terre est notre métier, organisé par le réseau Fnab (Fédération nationale des agriculteurs biologiques), s'est tenu les 25 et 26 septembre à Retiers (35). L'agriculture bio poursuit son développement, comme en attestent les 8 000 visiteurs sur deux jours d'un salon qui se veut de plus en plus professionnel, et qui draine de nouveaux acteurs.

Initiative méditerranéenne pour l'économie bleue : tenue mercredi à Alger de la 4ème réunion du Comité directeur

Le Comité directeur de l’initiative pour le développement durable de l’économie bleue en Méditerranée occidentale, dont la présidence est assurée conjointement par l’Algérie et la France, tiendra sa 4ème réunion mercredi à Alger, a indiqué mardi un communiqué du ministère de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche.

La promotion du secteur avicole marocain au centre d'une mission BtoB de la FISA au Bénin

La promotion du secteur avicole marocain et de ses atouts indéniables, en termes notamment de sa capacité importante d'investissement au niveau du continent africain, a été au centre de la troisième étape d'une mission BtoB organisée au Bénin par la Fédération interprofessionnelle du secteur avicole au Maroc (FISA).

Le Sénat se mobilise pour le pastoralisme, "en danger" face aux "grands prédateurs"

Les sénateurs ont adopté ce texte par 313 voix pour (LR, centristes, PS, RDSE à majorité radicale, CRCE à majorité communiste, une partie des Indépendants) et 21 voix contre (LREM). "Le pastoralisme est en danger", s'est alarmée Patricia Morhet-Richaud, sénatrice LR des Hautes-Alpes, auteur du texte, soulignant que cette activité d'élevage ancestrale "joue un rôle primordial dans l'aménagement de nos territoires"

L'IFIP partenaire du projet européen DY+, des outils pour augmenter l'autonomie protéique des élevages

organismes de recherche et formation : IFIP, Idèle, INRA (Rennes - Nantes - Tours - Le Magneraud), Tecaliman organismes professionnels agricoles : Chambres d'agriculture de Bretagne et des Pays de la Loire, réseaux CAB-GAB, FRAB-GAB et RAD-CIVAM

Loi Agriculture et alimentation : Un texte incomplet, dénoncent les agriculteurs

La loi doit permettre d'établir des prix en prenant en compte les coûts de production et de redonner du revenu aux agriculteurs, alors que près de la moitié d'entre eux vit avec moins de 350 euros par mois. Mais contrairement à ce que souhaitait la FNSEA, ce n'est pas l'indicateur calculé par l'Observatoire des prix et des marges qui aura le dernier mot en cas de désaccord au sein des interprofessions. « Nous souhaitions que dans le cas où les interprofessions ne le feraient pas, l'observatoire (des prix et des marges) puisse fournir ces indicateurs de référence », a déploré Patrick Bénézit.

[Sommet] Anti-viande : la FNSEA demande une enquête parlementaire

La FNSEA souhaite "une commission d'enquête parlementaire" sur les associations anti-viande dont des militants dégradent boucheries et commerces alimentaires, a déclaré sa présidente Christiane Lambert en ouverture du Sommet de l'élevage mercredi à Cournon-d'Auvergne (Puy-de-Dôme).

Services environnementaux : une rémunération des agriculteurs à l'étude

Le projet de loi sur l'agriculture, définitivement adopté par l'Assemblée nationale le 2 octobre, prévoit que le gouvernement remette au Parlement, avant le 1er janvier 2020, un rapport sur "l'opportunité de mettre en place une prestation pour services environnementaux afin de valoriser les externalités positives de notre agriculture". Ce rapport devra définir les modèles de rémunération qui pourraient valoriser les services écosystémiques rendus par les agriculteurs et leurs conditions de mise en œuvre.

Réunion de la commission nationale des parcours pastoraux

Ont pris part à la réunion, le Secrétaire d’Etat chargé du développement rural et des Eaux et Forêts, M. Hammou Ouhelli, le Wali de la Région, M. Ahmed Hajji, le Président de la région, M. Brahim Hafidi et le Président de la Chambre d’agriculture de Souss Massa, M. Ali Kayouh ainsi que les représentants des professionnels et des départements ministériels concernés.

L'Etat ne devra plus acheter des produits contribuant à la déforestation importée en 2022

Dans le projet de loi sur l'agriculture, adopté définitivement le 2 octobre par l'Assemblée nationale, un objectif est fixé en matière de lutte contre la déforestation importée. "L'Etat se donne pour objectif, à compter de 2022, de n'acheter que des produits n'ayant pas contribué à la déforestation importée, dans des conditions définies par décret", précise le texte.

L’agriculture biologique favorise la régulation des bioagresseurs

Des chercheurs de l’Inra, de l’université de Rennes 1 et leurs collègues mettent en évidence que l’agriculture biologique (AB) favorise la régulation naturelle et la maîtrise des bioagresseurs – pathogènes, ravageurs et plantes adventices. Ces résultats, publiés dans la revue Nature Sustainability le 16 juillet 2018, ouvrent des perspectives intéressantes pour réduire l’usage des pesticides de synthèse.

Prairies : une ressource capable de résistance et résilience

25°C et un soleil plomb ce 27 septembre 2018 à 1 100 m d’altitude sur le site de l’Inra de Marcenat. De quoi faire taire les climatosceptiques et poser le cadre de la dixième Journée de l’herbe organisée par l’Inra et les chambres d’agriculture du Cantal et du Puy-de-Dôme, justement consacrée cette année à l’adaptation de le gestion de l’herbe aux aléas climatiques notamment. 2018 année exceptionnelle certes, mais les constats et projections des équipes du programme AP3C(1) le confirment

[Sommet] Lait de montagne : des enjeux vitaux pour les territoires

Le lait de montagne est porteur d’enjeux économiques vitaux pour le revenu des exploitations et pour territoires via les emplois induits. Encore faut-il mieux le valoriser pour interrompre l’hémorragie vers le troupeau allaitant, notamment dans le Massif Central. L’Institut de l’élevage et FranceAgriMer dressent une liste de recommandations, avec la Pac en ligne de mire.

[Sommet] Sècheresse : « la décapitalisation est inéluctable »

Au sommet de l’élevage, les éleveurs sont inquiets. Après la canicule de cet été, le manque d’eau ne fait qu’aggraver la situation des prairies. Le prix des fourrages s’envole et avec elle le risque de décapitalisation du cheptel s’accroît en raison du manque d’aliment. « la décapitalisation est inéluctable. Parfois le prix du fourrage dépasse le prix de certaines vaches sur 9 mois » déclare Patrick Bénézit, secrétaire général de la FNSEA. Il insiste « on a besoin de mobiliser tous les outils ! »

L’Arabie Saoudite investit dans l’agriculture au Maroc

La société est constituée sous forme d’un fonds d’investissement dont le capital social est détenu à parts égales entre l’Etat Marocain et l’Etat Saoudien. Elle a investi (seule ou en partenariat) environ 5 milliards de DH dans trente opérations d’investissement. En 25 ans, le capital d’Asma Invest a été multiplié par 5 passant de 400 MDH en 1992 à 2 Mds de DH en 2016. Sachant qu’en 2010, le capital a doublé pour atteindre 800 MDH.

SEABEX pour une agriculture de précision.

C’est une application informatique qui calcule, à partir de données environnementales (température, taux d’humidité, etc), la « juste » quantité d’eau nécessaire pour l’irrigation des parcelles agricoles. L’acquisition des données se fait grâce à des systèmes de capteurs embarqués. Ces données sont traitées par un algorithme qui permet à l’application de piloter et ajuster automatiquement le niveau d’arrosage.

France : SaveBuxus où la lutte contre le déclin du buis.

La pyrale du buis, observée pour la première fois en France en 2008, est devenue en peu de temps, un fléau majeur pour la biodiversité. En effet, c’est à l’état de chenille que l’animal fait le plus de dégâts : il dévore les plants de buis. Sa reproduction rapide et le manque de prédateur en France en a fait un nuisible particulièrement répandu et en surnombre depuis les dernières années.

Pêche côtière et artisanale : Repli de 12% des débarquements à fin août 2018

La valeur marchande des produits de la pêche côtière et artisanale débarqués au titre des huit premiers mois de 2018 a atteint plus de 5 milliards de dirhams (MMDH), en progression de 4% comparativement à fin août 2017, précise l’ONP dans une note relative aux statistiques sur la pêche côtière et artisanale au Maroc pour le mois d’août 2018.

Effluents phytos : une nouvelle liste de procédés de traitement reconnus efficaces

La nouvelle liste des procédés de traitement des effluents phytopharmaceutiques reconnus efficaces par le ministère de la Transition écologique a été publiée le 25 septembre. Il s'agit de procédés physiques, chimiques ou biologiques dont l'efficacité a été reconnue par un tiers expert. Les champs d'application sont précisés pour chaque procédé : arboriculture, cultures de légumineuses, horticulture, viticulture, traitements post-récoltes, zones non agricoles.

Le Maroc participe à la création de projets avicoles en Afrique

La séance plénière a eu lieu vendredi 28/09/2018 à l’Hôtel Marina. Son ouverture a été marquée par l’allocution particulièrement forte de Son Excellence Monsieur le Ministre de l’Intérieur et de la Sécurité Publique saluant ce type d’initiative relevant d’une coopération Sud-Sud originale et ce en présence de près de 170 professionnels béninois qui étaient venus très nombreux à cette rencontre. Leur participation massive est l’expression même de la réussite de cette mission.

Fongicides céréales BASF dresse le bilan de la campagne 2017/2018

Cette campagne 2017/2018 a été marquée par une « pression maladie tardive mais significative », d'après BASF. Elle a parfois été stoppée par les températures élevées et le manque d’eau en juin. Selon les essais réalisés par la firme, la « nuisibilité ajustée » en blé tendre est de 17,4 q/ha en 2018. Pour rappel le chiffre 2017 était de 10,6 q/ha. Le retour sur investissement de la protection fongicide pour les blés en 2018 est estimé à 4,4

Alimentation animale Du volume et de la qualité pour ce blé tendre 2018

Les conditions climatiques de la campagne ont suscité des inquiétudes concernant les volumes et la qualité du blé tendre (sécheresse durant les semis d'automne, inondations hivernales et printanières compliquant les semis d'hiver et de printemps, épisodes orageux et températures élevées...). Arvalis et FranceAgriMer assurent cependant : « Avec de faibles teneurs en eau,

Turquie et tensions anti-viande au Sommet de l'élevage

Le 27e sommet, qui draine 1.500 exposants de 32 pays et surtout quelque 2.000 animaux d'élevage bichonnés, brossés et manucurés, a désigné la Turquie comme invité d'honneur, dans l'espoir de relancer les exportations vers ce pays, premier importateur d'animaux en provenance de l'Union européenne, acheteur de broutards, des jeunes veaux mâles à engraisser.
Agriculture et pêche du 01 au 05 Octobre 2018

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